La Meije - Grand Pic (3983m) et traversée des arêtes

Difficulté :
Alpinisme D
Dénivelé :
2400m
Durée :
2 jours

La Meije c'est une légende, une épreuve, un parcours initiatique et une confirmation. Là commence le grand alpinisme. Nous avons parcouru la face sud du Grand Pic jusqu'au glacier Carré puis rejoint l'itinéraire "normal" pour le sommet et la longue et belle traversée des arêtes. – Auteur :

Accès

Le point de départ est le refuge du Promontoire (3092m). On y accède depuis la Grave ou la Bérarde.

La traversée démarrant versant sud et se terminant versant nord, il est nécessaire de prévoir une navette voiture ou de faire une première traversée nord/sud par la brèche de la Meije et rejoindre le refuge du Promontoire :

  • Depuis la Grave (4h mais plus difficile que par le versant sud), prendre le premier tronçon du téléphérique puis traverser la brèche de la Meije (3357m) via les Enfetchores. C’est déjà de l’alpinisme PD avec passage de rimaye, de mixte et rappels en terrain haute montagne.
  • Depuis la Bérarde (5h), monter au refuge du Châtelleret (2h) puis poursuivre rive droite. Sur la fin on peut soit monter par le glacier (on ne marche plus sur la glace : éboulis sur dalles lisses), soit monter par le rocher : marquage bleu et câbles.

Les infos essentielles

  • IGN TOP25 3436 ET Meije Pelvoux
Sensibilisation

Le milieu que vous traversez durant cette randonnée est fragile. Faites attention à la flore et ne dérangez pas la faune locale. Rapportez vos déchets et ramassez ceux que vous trouverez. Vous soutiendrez ainsi le mouvement KeepTheMountainsClean, une initiative Altituderando !

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Itinéraire

VIDEOS


Traversée de la Meije 1ère partie par jymets


Traversée de la Meije 2° partie par jymets

REFUGE DU PROMONTOIRE

  • Lien ICI
  • Du parking au refuge : 5H00

Nous sommes montés depuis la Bérarde, ayant laissé une voiture versant nord au pont des Brebis (Pied du Col). Le sentier prend assez peu de dénivelé jusqu’au refuge du Châtelleret, puis grimpe de plus en plus vers le Promontoire. Il faut bien 4 à 5h00 pour y monter.

Personnellement, j’aime prendre mon temps, m’acclimater mentalement et ne pas me mettre dans le rouge en privilégiant une arrivée tranquille au refuge.

L’apéro offert par Nathalie et Fredi, les gardiens, est à 18h00. La fin du sentier n’est plus balisée que par des cairns et franchit une cascade. Une pente de neige en diagonale et quelques barres rocheuses amènent aux escaliers vertigineux du refuge à 3092m.

  • Fin de la première étape.

Cotations

  • D- pour le grand pic par l’arête du Promontoire et la traversée des arêtes.
  • TD pour la Directe du Grand Pic, voie Pierre Allain

Matériel

  • La panoplie complète : on grimpe tout en grosses, pour le matériel d’assurance, tout dépend de votre niveau, quelques friends et câblés peuvent suffire, privilégier les sangles. Crampons et piolet, matériel de sécurité pour rappels et glacier. Une bonne réserve d’eau.
  • Pour la Pierre Allain : quelques dégaines de plus, marteau et piton éventuellement.
  • Corde de rappel 2 x 50m

ASCENSION DU GRAND PIC DE LA MEIJE

Notes préliminaires

  • Du refuge du Promontoire au sommet : 6h00

La voie normale est décrite ci-après (nous avons attaqué par la face sud directe et rejoint la voie normale au glacier carré).

Attention aux cotations : il faut les comprendre datant d’une époque où l’on ne grimpait qu’en grosses et où le rocher était neuf.

Par exemple, le Cheval Rouge, encore coté 3+, est à mon humble avis un passage de 4+ pas facilement protégeable. De plus on n’a pas le temps de toujours assurer ces passages sur deux points, donc il faut avoir de la marge.

Du refuge à la Pyramide Duhamel

Du refuge, monter à la brèche du Crapaud par des gradins entre le refuge et les toilettes. À la brèche, ne pas suivre les câbles qui partent à droite (E) mais aller à gauche (ouest) pour buter contre un bombé déversant, le Pas du Crapaud. Le franchir (3b, piton + friend coincé) pour gagner le fil de l’arête à gauche. Suivre l’arête au plus facile (2, quelques pas de 3 dans des cannelures) jusqu’à buter sous un grand ressaut raide (cairns). C’est le Campement des Demoiselles.

Partir alors en ascendance à gauche (ouest), par des dalles (2-3), vers la rive gauche du couloir Duhamel (viser le grand gendarme caractéristique en bas de la rive droite du couloir). Ne pas descendre dans le couloir, mais remonter les rampes et cheminées (2 cheminées en 3, parfois verglacées, équipées de pitons) en rive gauche du couloir (nombreux pitons) jusqu’à venir buter contre un ressaut plus raide. Traverser alors à gauche, vers le couloir (rampe, pitons) et y prendre pied (neige et glace).

Remonter le couloir Duhamel, soit côté rive droite, sur des dalles, soit par le fond, par des gradins (attention aux chutes de pierres). Sorti du couloir, on laisse sur la droite la Pyramide Duhamel (3460m), pour atteindre en ascendance à gauche une grande terrasse parfois enneigée (bivouac possible). Depuis ce point, on voit au loin les lumières de l’Alpe d’Huez, et il est possible de se faire une idée de la météo (perturbation venant du nord-ouest).

Muraille Castelnau, de la Pyramide Duhamel au glacier Carré

De la terrasse, partir vers la droite (nord-est) en direction d’une grande face rocheuse raide - la Muraille Castelnau - par une petite arête, puis des rampes, qui mènent sur une large dalle peu inclinée au pied de la Muraille Castelnau. L’itinéraire la contourne par la droite.

Remonter la dalle peu inclinée vers la droite jusqu’à venir buter contre un ressaut raide (pitons). Longer celui-ci vers la droite sur 4m puis descendre un pas vers la droite (pitons) pour arriver au pied d’un petit mur de 3-4m de haut : la dalle Castelnau (3, piton noir récent au pied). Une fois franchi le mur, partir vers la gauche sur quelques mètres (relais) avant de repartir à droite par des vires peu inclinées (quelques pitons) qui mènent jusqu’à l’aplomb du glacier Carré (vires souvent humides ou verglacées, chutes de glace).

Monter droit sur environ 10m, puis repartir en ascendance vers la gauche, en passant au plus facile (vires et ressauts en 3, des pitons un peu partout), en direction du fil de l’arête, à l’angle des faces sud et sud-ouest. Plusieurs passages sont possibles jusqu’à être directement au-dessus de la dalle Castelnau. Continuer alors vers la gauche pour atteindre et franchir un bombé - le Dos d’Âne (3) - ou gravir un ressaut vertical sur environ 7m (cannelures, 3+), pour déboucher sur une petite vire au pied d’une dalle peu raide encadrée par de hauts murs : la Vire aux Encoches (relais de rappel avec maillon triangulaire).

Suivre la Vire aux Encoches vers la droite, puis franchir une cheminée athlétique (3+, 1 piton au pied), pour atteindre une plateforme avec un relais, au pied d’une dalle fermée à droite par un dièdre-cheminée déversant. C’est la dalle des Autrichiens. Gravir la cheminée, puis le dièdre, jusqu’à rejoindre le haut de la dalle (4, 3 pitons), que l’on traverse ensuite vers la gauche (3), sous un surplomb, jusqu’à une plateforme avec un relais de rappel (maillon triangulaire), au pied d’une petite arête de rochers blancs.

Remonter la petite arête sur 5-10m (3 raide) puis partir à gauche pour accéder à une terrasse sur le flanc ouest de l’arête principale. C’est le Pas du Chat (3). A partir d’ici le rocher change de nature, passant du granite au gneiss. Remonter une large cheminée en rochers brisés, dépasser par la droite un bel emplacement de bivouac, franchir une dalle raide grise, aller à droite, puis redescendre 5m sur une dalle inclinée pour atteindre les vires du glacier Carré.

  • On doit essayer d’arriver à ce stade vers les 10h00, soit en 5h00 d’escalade car on n’a effectué qu’un tiers du parcours total.

Du glacier Carré au sommet du Grand Pic

Remonter les pentes du glacier Carré (30/35°) en longeant les rochers de la rive droite pour rejoindre un couloir de neige ou, en fin de saison, en éboulis de gros blocs (tout faire pour les empêcher de descendre 600m plus bas) jusqu’à la brèche du glacier Carré.

Les dalles de la face ouest s’abordent en commençant à proximité du fil de l’arête ouest, puis en restant sensiblement à droite sous l’arête (on croisera peut-être les relais sur chaînes de la descente en rappel) jusqu’à déboucher dans une zone moins raide. Viser alors une petite dalle de rocher rouge qui se découpe sur le ciel : le Cheval Rouge (relais 2 pitons). Le gravir (3c, voir les notes préliminaires) et passer versant en nord. Juste au-dessus, en versant nord, franchir un petit surplomb pourvu de bonnes prises, le Chapeau du Capucin (3+, un friend coincé). Suivre ensuite facilement l’arête qui mène au sommet du Grand Pic de la Meije (3983m).

TRAVERSÉE DES ARÊTES : DU GRAND PIC AU REFUGE DE L’AIGLE

Notes préliminaires

  • Horaire de la traversée : 5H00

La traversée des arêtes est l’enchaînement classique de la montée au Grand Pic par l’Arête du Promontoire. Les difficultés sont assez homogènes avec un pic pour le contournement de la Dent Zsigmondy versant nord, en glace raide, un câble facilite le passage mais selon les conditions il est plus ou moins utilisable.

Du Grand Pic au Doigt de Dieu

Du Grand Pic, descendre 20m versant nord-est, pour rejoindre une ligne de rappel permettant d’atteindre la Brèche Zsigmondy (relais sur chaînes : 40m, 40m, 30m). Le premier relais de rappel se trouve environ 5m sous un relais sur sangles bien visible du sommet, au fond d’un goulet.

  • Selon les conditions, il peut être utile de chausser les crampons dès le départ des rappels.

De la brèche, traverser l’arête effilée (3 pitons) jusqu’au pied de la Dent Zsigmondy et le départ des câbles qui permettent de la contourner en versant nord. Suivre les câbles : descente, traversée horizontale, puis remontée d’un couloir/goulotte raide (70°, sortie en cheminée mixte) jusqu’à la brèche entre la Dent Zsigmondy et la 2ème Dent.

  • A certains endroits, variables en longueur selon les conditions, le câble est sous la glace et donc inutilisable.

Suivre l’arête en passant au mieux sur le fil ou légèrement en contrebas versant nord. Descendre 15m versant nord (3+ ou rappel) pour atteindre la brèche après la 3ème Dent. Atteindre la brèche séparant la 4ème Dent du Doigt de Dieu, en descendant une pente de neige recouvrant des dalles lisses ou en faisant un rappel de 45m. Gravir le Doigt de Dieu par l’arête (2+).

Descente du Doigt de Dieu jusqu’au refuge de l’Aigle

Descendre 30m versant nord, en désescalade dans des bons rochers, ou en rappel du sommet et traverser 5m vers l’est pour rejoindre un rappel (chaîne, 35m) permettant d’atteindre une large brèche au pied du Doigt de Dieu.

Suivre l’arête vers l’est sur environ 30m, jusqu’au pied d’une large tour et un relais sur chaîne très visible en versant nord. Chausser les crampons. Afin de passer la rimaye et d’atteindre le glacier du Tabuchet, faire un premier rappel de 25m pour rejoindre un second rappel de 45-50m (chaînes) sur un des derniers rochers avant les pentes du glacier (légèrement sur la droite).

Rejoindre le piton rocheux du refuge de l’Aigle en descendant au nord-est les pentes du glacier du Tabuchet.

  • Nombreuses crevasses en fin de saison, et quelques pentes. Rester concentrés sur la sécurité et les consignes d’encordement sur glacier crevassé.

En règle générale on s’arrête au refuge de l’Aigle, et trop souvent on y arrive à la nuit.

DESCENTE DU REFUGE DE L’AIGLE AU PONT DES BREBIS (1662m)

  • Horaire de la descente : 3/4H00

Elle ne fait que 1800m de dénivelé 😉)), avec une partie courte de glacier, mais crevassée, une barre rocheuse exposée, équipée de câbles, des barres faciles à désescalader, puis un long sentier qui mène à la Romanche et au pont des Brebis.

Descendre la rive droite du glacier du Tabuchet, le long de l’arête du Bec de l’Homme. Rejoindre à droite la vire Amieux (câble). Suivre cette vire en remontant légèrement jusqu’au petit glacier-névé du Bec de l’Homme. Descendre sur le névé puis en prenant au mieux dans le flanc est de l’arête nord du Bec de l’Homme pour atteindre une sente plus ou moins bien tracée permettant de rejoindre vers 2500m le bon sentier menant au Pont des Brebis (Pied du Col), à quelques kilomètres de route de la Grave.

En début de saison, il est possible de rejoindre la Bérarde en descendant le couloir du Serret du Savon (lorsqu’il est enneigé) et en repassant versant Étançons par la Brèche de la Meije.

Question timing, on se résume

Refuge du Promontoire, lever 4h00, départ 4h30, objectif glacier Carré 10h00, Grand Pic 10h30/11h00, refuge de l’Aigle 16h00, pont des Brebis 19h00

Cet horaire est souvent dépassé.

En ce qui nous concerne, nous étions trois et nous nous sommes évertués à faire des prises de vue, notre horaire a été le suivant :
glacier Carré (bivouac) : départ 8h00, refuge de l’Aigle 18h00, pont des brebis 21h30, Marseille 2h00.

Récit de l’ascension

Nous sommes arrivés au glacier Carré par la voie Allain-Leininger, une classique TD de 800m qui sort au sommet. Notre projet initial était de gravir cette voie dans la journée et de bivouaquer au sommet du Grand Pic. Ouverte en 1935, peu équipée, avec des longueurs de 5/5+, une cheminée au fond verglacé en 6/A0, la "Pierre Allain" s’est révélée un peu longue pour une cordée de trois avec des sacs lourds. Si le rocher est bon dans l’ensemble, l’itinéraire peut être assez compliqué et à trois nous n’avancions pas assez vite. Le soir tombant, nous avons opté pour une traversée à gauche pour rejoindre l’emplacement de bivouac du glacier Carré - 3650m environ - (4 places). Personnellement je n’étais pas fâché de m’arrêter là car grimper en grosses avec le sac que j’avais sur les épaules n’était pas de la tarte.

Le bivouac du glacier Carré a le gros avantage d’être à proximité immédiate de la neige ce qui permet de faire une tambouille agréable, alors que celui visé initialement au sommet rend l’approvisionnement en eau beaucoup plus problématique et est plus exigu.

Du glacier Carré, nous sommes partis à 8h00, certainement un peu tard, et nous avons rejoint l’itinéraire normal en traversant le glacier. (Voir la vidéo)

. Dernière modification : 10 octobre 2022 (Avertissements et Droits d'auteur)

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Afficher les commentaires précédents (16).
  • Avec les conditions qu’il devait y avoir, vous avez dut vous régaler !

    Le 20 avril 2016 à 21h11
  • Impressionnant ! RESPECTS !

    Le 30 avril 2016 à 17h40
  • Merci. J’ai été davantage mis à contribution à l’Olan...

    Le 3 mai 2016 à 08h29
  • Mais sans parler de cotations, c’est un sommet extraordinaire, ça doit être très long puis faut respecter un certain créneau.

    A ton avis, c’est possible de redescendre par l’arête du Promontoire ?

    Le 9 juin 2017 à 13h08
  • Je viens de mettre à jour la cotation. Je ne sais pas pourquoi elle était en PD+.
    Pour répondre à ta question, oui ça peut se faire mais c’est un défi à la logique de ce sommet, sauf en cas de retraite forcée.
    C’est un peu comme le Pelvoux en aller/retour par le couloir Coolidge, et même, dans une moindre mesure, les Rouies sans passer par le couloir. L’intérêt de cette course c’est l’enchainement. Bien à vous.

    Le 9 juin 2017 à 20h02
  • Merci d’avoir modifié, c’est plus logique de faire la traversée, c’est sur, faut qu’on réfléchisse.

    Pour le Pelvoux, c’est décidé , on fait l’A/R, on va pas s’emmerder a faire la traversée par les Violettes, on peut laisser du matos au refuge comme ça.

    Le 11 juin 2017 à 19h46
  • C’est dommage pour le Pelvoux, car la traversée par les Violettes est ce qui donne du sens à ce massif assez fantastique. Après, c’est vous qui voyez, mais je suis d’accord avec Paul, c’est un défi à la logique du massif.

    Le 11 juin 2017 à 21h10
  • La traversée du Pelvoux et la plus belle course des Écrins dans son niveau de difficulté, l’une des plus belles des Alpes.

    Le 11 juin 2017 à 21h27
  • Je confirme Alain, cette traversée du Pelvoux est l’un de mes meilleurs souvenirs. Si le topo ne vient pas, je pourrais m’y coller un de ces quatre...

    Le 11 juin 2017 à 21h45
  • Trop tard pour moi cette saison, mais l’an prochain, j’aimerais bien m’y coller...

    Le 11 juin 2017 à 22h20
  • Bon ben si il n’y a pas de topo, on va faire la traversée, mais ça nous oblige à porter un sac lourd jusqu’au sommet alors qu’on peut laisser des affaires au refuge en faisant l’A/R.

    Après je suis complètement d’accord avec vous, la traversée des violettes ça doit être grandiose et permet de faire une boucle complète

    On l’a prévu pour la semaine prochaine, je pense que c’est la meilleure période pour le faire.

    Le 12 juin 2017 à 07h35
  • La meilleure période c’est fin mai / début juin, en condition d’enneigement "normales". Après, la normalité, ces dernières années...

    Le 12 juin 2017 à 07h57
  • Ok, mais ça devrait le faire en fin juin, le Couloir Coolidge est encore bien rempli.

    Après c’est sur qu’il faut pas y aller en septembre, faut prendre l’arête des Rochers Rouges dans ce cas là.

    Le 12 juin 2017 à 13h52
  • Je ne dirais pas qu’il ne faut ’pas’ y aller en septembre ... mais qu’il ne faut ’plus’ y aller en septembre. Sublime traversée faite en septembre 1978 avec mon ’beauf’ comme guide ... mais c’était une autre époque. On ne peut relâcher l’attention qu’une fois les vires d’Ailefroide franchies, autrement dit à quelques minutes des voitures. Un souvenir ’énôrme’.

    Le 16 juin 2017 à 17h13
  • Idem pour moi dans les années 90 avec des grosses cuir de 2.4kg. J’avais tellement nettoyé mes poumons ce jour là que j’en ai arrêté de fumer 😉 Les deux pointes se font bien dans la même journée et le panorama est complémentaire.

    Le 16 juin 2017 à 19h09
  • Les deux pointes ?? Tu parles bien de la Puiseux et Durand ? Si oui, j’ai prévu de les faire les 2, c’est juste à coté, pas dangereux et peu de D+ en plus.

    Le 17 juin 2017 à 08h07
  • Oui c’est ça. J’avais fait les deux facilement. Mais mon expérience remontant à plus de 20 ans il est possible que les conditions aient changées.

    Le 17 juin 2017 à 08h41
  • Oui, c’est fort probable que ça soit pas la même histoire mais bon il y’a encore pas mal de neige en fin juin.

    Le 17 juin 2017 à 11h09
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