Pointe de l’Aiglière (3307m) par les Lacs des Neyzets

Difficulté :
Difficile
Dénivelé :
1460m
Durée :
8h00

C'est une bavante ! Voilà, c'est dit ! Ce n'est pas tant pour la dénivellation, déjà respectable, de 1460 mètres, mais pour celle de 450 mètres, entre 2800m et 3250m, dans un immonde pierrier. Mais cette Pointe de l'Aiglière culmine à 3300m et se situe à moins de 10km de l'Ailefroide et du Pelvoux et à moins de 13,5km de la Barre des Écrins. Le spectacle est donc somptueux et fait oublier le pierrier. On a vraiment du mal à s'arracher au sommet pour redescendre. Les lacs sont généralement asséchés, mais le vallon de Narreyroux est splendide. Pas de moutons et donc des fleurs à profusion. Des chevaux en semi-liberté et donc... des taons. Rien n'est parfait ! – Auteur :

Accès

De la vallée de la Durance, une dizaine de km en aval de Briançon, prendre la direction des Vigneaux, puis celle de Puy-Saint-Vincent que l’on traverse. Prendre à gauche la direction de "Station 1600". Après 1,3 km, prendre à droite la petite route du vallon de Narreyroux. La route devient une piste, bien entretenue que l’on remonte jusqu’à son terminus.

De Vallouise, prendre la direction de Puy-Saint-Vincent. Avant d’arriver au village, prendre à droite, la petite route du vallon de Narreyroux.

Précisions sur la difficulté

  • Grande randonnée, à une altitude déjà élevée. Le sentier est très bon jusqu’aux lacs. Ensuite, pas de sente bien définie, mais des traces intermittentes et des cairns isolés.
  • Arête finale, facile, relativement large et aérienne.
  • Il y a des possibilités pour une ascension plus directe, mais l’itinéraire décrit, bénéficie d’un bon sentier jusqu’à 2718m et d’une bonne sente jusqu’à 2800m après...
  • L’erreur à ne pas faire : suivre, sur la carte IGN, le tracé bleu de ski de randonnée, plus direct... et avec le pierrier qui débute à 2150m !
  • Infos 2022 : itinéraire bien cairné et trace facilitant l’ascension passant au-dessus du rognon rocheux

Les infos essentielles

  • Carte : IGN TOP25 3437 ET
  • Altitude de départ : 1850m
  • Distance : 13km
  • Horaire : environ 8h00
  • Balisage
    Traits jaunes jusqu’aux lacs des Neyzets
Sensibilisation

Le milieu que vous traversez durant cette randonnée est fragile. Faites attention à la flore et ne dérangez pas la faune locale. Rapportez vos déchets et ramassez ceux que vous trouverez. Vous soutiendrez ainsi le mouvement KeepTheMountainsClean, une initiative Altituderando !

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Itinéraire

Panoramique personnel

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Les lacs des Neyzets

Généralement asséchés, un petit barrage a été construit pour retenir un peu d’eau dans le plus grand des lacs. Mais le barrage est raté, l’eau passe par dessous et il ne reste qu’une flaque et de la boue. Les cascades constituent donc une randonnée familiale plus intéressante que ces "lacs".

Itinéraire d’ascension

Au bout du parking, traverser le torrent par le petit pont en bois a gauche. Suivre le sentier qui longe en rive droite le torrent de la Combe de Narreyroux, panneau l’Aiglière.

On laisse à gauche le sentier qui mène à la "Station 2000" et on continue le sentier en direction des cascades qui sont bien visibles.

Vers 2140 m d’altitude, au-dessus des cascades, on laisse à droite le sentier de la Crête de Reychard, panneau lac des Neyzets. Un peu plus loin, vers 2160m d’altitude, dans les alpages, on laisse à gauche le sentier du col du Bal, vieux panneau en bois brisé et posé sur un cairn.

Le sentier va traverser le torrent et monter en lacets vers le premier lac, alt. 2718m.

Prendre plein nord, dans une petite pelouse, une sente bien visible.

On arrive dans un petit vallon herbeux et pierreux que l’on traverse en légère ascendance, pour se diriger vers un rognon rocheux.

Prendre une vire évidente qui traverse ce rognon au tiers supérieur. Gagner facilement le sommet des rochers.

On se trouve dans un vaste vallon d’éboulis.

Faire une traversée ascendante pour gagner l’arête apparente qui est en fait une très vielle moraine.

Remonter le fil émoussé de cette moraine constituée de blocs plus ou moins stables et de zones terreuses et glissantes, en suivant les quelques cairns et des traces, parfois très nettes, parfois invisibles.

  • on peut prendre comme cap, un gendarme au profil carré, en haut, sur l’arête de l’Aiglière.

On arrive sous des barre rocheuses. Traverser à droite, vers le névé permanent, bien visible sur l’arête.

Gagner l’arête par des vires, en amont du névé.

Sur l’arête, la suivre facilement en suivant les traces, qui montent, qui descendent, qui remontent, en passant parfois en contrebas en versant nord-ouest.

Le grand signal géodésique du sommet est détruit, reste un grand cairn et une petite croix.

Panorama

Absolument somptueux. Sirac, Jocelme, Rouies, Bonvoisin, Aupillous, Bans, Ailefroide, Écrins, Sans Nom, Pelvoux, Agneaux, Vanoise, Mont Blanc, Grand Paradis, tout le Queyras avec le Pic de Rochebrune, Viso, Chambeyron...

Itinéraire de descente

Elle se fait par le même itinéraire. Mais dans le pierrier, il sera difficile de passer au même endroit à la montée et à la descente.

L’ascension

26 ans après ma première ascension, me voici donc de retour dans le vallon de Narreyroux pour rendre une nouvelle visite à cette montagne qui m’avait fait une forte impression en raison de son panorama époustouflant, mais aussi de son pierrier.

Départ un peu après l’aube car j’avais lu quelque part que la piste était complètement défoncée et je ne voulais pas la prendre de nuit. Mais elle est plutôt bonne, avec une première partie asphaltée récemment. Les derniers hameaux du vallon, Narreyroux d’Aval et Narreyroux d’Amont, sont entièrement restaurés et la piste est donc entretenue.

Le vallon est abondamment fleuri et c’est une surprise. À part une ancolie des Alpes, pas de fleurs exceptionnelles ou rares, mais une profusion d’espèces de toutes les couleurs.

Deux belles cascades parallèles franchissent une barre rocheuse sous le vallon supérieur.

Et je rencontre des chevaux en semi-liberté. Apparemment, il n’y a pas de moutons dans ce vallon, ce qui explique les fleurs.

Le sentier est balisé en jaune et la peinture semble à peine sèche. Il vient d’être entretenu. Des passages érodés sont empierrés et le balisage nous invite à les contourner.

Les lacs sont secs. Sur le plus grand, un petit barrage a été édifié, mais l’eau passe par dessous et il ne reste qu’une flaque et de la boue. Pourtant, il est alimenté par la fonte des névés qui occupent la place de l’ancien glacier des Neyzets.

Du lac, je prends de suite la direction du sommet. Je remonte une petite zone herbeuse et arrive dans un vallon herbeux lui aussi. Trois marmottons sont en train de jouer avec insouciance, entrant dans leur terrier pour en ressortir presque aussitôt. Je fais un petit détour pour avoir le Soleil derrière moi, je reviens lentement en direction du terrier et me tiens immobile à quelques mètres. Les marmottons sortent et commencent leurs jeux. Je reste 15 minutes à les observer et les photographier. Les parents, eux, ne se monteront pas. Ils ne sont pas très attentifs. La montagne est pleine de dangers pour des marmottons.

Je repars en direction du sommet et je me trouve face à un renard qui s’enfuit aussitôt. Les marmottons ont gagné un petit répit. Le renard en aurait certainement attrapé un.

Et puis c’est l’immonde pierrier. On peut monter par des pentes de fins éboulis ou de terre et c’est glissant. On peut monter par de gros blocs et beaucoup sont instables. Il est certain que si l’office du tourisme balisait un itinéraire, comme ils le font en Italie, où même l’itinéraire du Viso est balisé, tout le monde passerait au même endroit, stabilisant ainsi les blocs et créant une sente moins glissante dans les passages terreux.

Enfin c’est l’arête ! Le parcours devient plus facile, même s’il faut monter et descendre et remonter. L’inimitable vent frais de l’altitude me caresse agréablement le visage.

Et c’est le sommet ! Le grand signal géodésique en bois est en miettes. Je trouve au sommet, un gros cairn avec un livre d’or et un peu plus loin, une petite croix.

Je m’attendais à un spectacle grandiose et c’est encore plus beau que dans mon souvenir. L’Ailefroide et le Pelvoux à moins de 10 Km, la Barre des Écrins à moins de 13,5 km. Au nord, en Vanoise, les sommets sont accrochés par des nuages. Le Mont Blanc est invisible.

Vers l’est le panorama est fabuleux en direction du Queyras et des Alpes-Maritimes. Le versant nord-ouest de l’Aiglière "tombe" de plus de 1600 mètres sur le torrent de la Selle. Le village des Vigneaux est visible, 2200mètres plus bas.

Hélas il faut redescendre. Je retraverse le pierrier. C’est plus facile dans ce sens. Je vois un randonneur et je me dirige vers lui. Je lui demande s’il va au sommet. Il me répond qu’il ne sait pas car il est un peu tard. Je me retourne, regarde autour de moi et je lui dis qu’effectivement nous devons être à 2800m et qu’il est loin du sommet. Il regarde sa montre-altimètre elle affiche 2800m. Il me dit que j’ai l’œil. Chance ou expérience, je ne trancherai pas.

Je continue ma descente, puis je me retourne quelques minutes plus tard. Le randonneur a disparu, absorbé par l’immense pierrier.

Des lacs, je ne prends pas le sentier de montée, je traverse les anciennes moraines pour aller chercher le petit ravin où coule le torrent de la Combe de Narreyroux. Ce petit ravin est encore enneigé et je descends en ramasse. La pente n’est pas très forte et je dois pousser sur les bâtons comme un skieur de fond.

J’arrive dans les alpages et je me dirige vers une source repérée à la montée. L’eau est délicieuse. Et puis je subis la première attaque de taons. Je m’asperge de répulsif. Plus bas je rencontre de nombreux randonneurs, attaqués eux aussi, alors que je suis épargné.

Je fais un détour par les cascades. La plus grande, celle de droite en descendant est magnifique. Celle de gauche, plus petite est difficile à voir. Il faudrait franchir le torrent et remonter des pentes herbeuses pour s’approcher. Je n’y vais pas et je retourne tranquillement au parking.

J’en ai assez fait pour ce jour, car demain, une autre ascension est au programme, un hors sentier complet.

Info 2021

  • Voir commentaire du 17/09/2021

À partir de 2800-2850 m, une sente cairnée permet de rejoindre relativement facilement le névé de la crête sommitale, sans passer par "l’immonde pierrier"...

. Dernière modification : 25 juillet 2022 (Avertissements et Droits d'auteur)

Auteur :

Réagissez !

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  • superbes photos !

    Le 26 juillet 2012 à 14h04
  • Merci Paul ! Ce sont les petits marmottons que j’aime beaucoup.

    Le 26 juillet 2012 à 14h35
  • oui ils sont vraiment adorables et les photos sont très belles, tu dois avoir un bon appareil photo.
    Pas trop gros j’espère 😉

    Le 26 juillet 2012 à 21h49
  • Ces adorables marmottons, ont été photographié avec un "bridge" Nikon dont je suis un peu déçu (zones de flou sur les côtés). Là, j’ai pu me mettre entre le soleil et les petits. Ils rentraient et sortaient sans cesse de leur terrier. Chaque fois qu’ils disparaissaient, je m’approchais d’un pas. Je me suis retrouvé aux environs de 5 mètres. Cela m’a pris 15’ entre l’approche et les photos. Et quand je me suis éloigné, je me suis retrouvé face à un renard. Mais c’est une autre histoire...

    Le 27 juillet 2012 à 20h48
  • photos superbes, je pense que tes marmottons vont faire un tabac, mais quelle patience ! quand je vois tout ces gens pressés d’arriver au but ...

    Le 28 juillet 2012 à 10h36
  • et très beaux panoramiques !!!

    Le 28 juillet 2012 à 11h10
  • Merci Joëlle. Les marmottons sont vraiment craquants. Maintenant, j’ai moins de sympathie pour les renards. Il ne font que vivre leur vie de renard, mais s’attaquer à ces petites peluches...
    Merci Vincent, tu viens de me donner une idée pour afficher un panoramique perso plus grand que l’écran, avec barre de défilement.

    Le 28 juillet 2012 à 14h18
  • bruno

    j’ai fait ce sommet en 1989 c’est loin !!! c’est raide et rude mais c’est très beau,en ce qui concerne le panorama c’est magnifique,sachant que l’on peut voir au crépuscule par temps très clair le Canigou depuis la barre des écrins(420 km d’écart) je m’étais demandé si on pouvait le voir de l’aiglière mais je crois que le ventoux situé sur l’axe empêcherait cela

    Le 20 août 2012 à 16h04
  • Oui le Ventoux.
    Mais aussi 800 mètres d’altitude supérieure pour la Barre. Ce n’est pas rien !

    Le 22 août 2012 à 20h35
  • Bruno,

    Il n’est physiquement difficile, en fonction des altitudes et et de la courbure du globe, de voir, du sommet de l’Aiglière, le mont Canigou, (la vue porte théoriquement à environ 400 km si l’on tient compte des deux altitudes). Sans compter que l’atmosphère doit perturber la théorie...

    Le 29 août 2012 à 22h21
  • trencene le 6/9/2012 Jacques

    g fait la pointe de l Aiglière le 24/8/2012 en solo au départ de Puy st Vincent 1600, en montant par la "cabane des grands plans" (hors sentier, le plus direct) et sur la fin pour rejoindre l arête sommital un énorme,colossal,monstrueux pierrier très abrupt comme je n en avais jamais franchi et j en ai bavé ; je me suis fait peur à 2 reprises, bloqué allongé de tout mon long pour trouver des prises solides dans la caillasse. Pour redescendre par les lacs des Neyzets et le vallon de Narreyroux.
    Je déconseille vivement cette périlleuse montée à moins d être kamikazé.

    Le 7 septembre 2012 à 11h25
  • Oh oui Jacques !
    L’itinéraire proposé n’est pas le plus direct, mais il est sûr !

    Le 14 septembre 2012 à 00h45
  • Bicshow
  • lochard olivier

    cette année , les éboulis sont un peu mieux balisés...mais les taons sont toujours là , sans bétail , sans chevaux..y a pas grand-monde au delà des "lacs" des neyzets !
    Et il vaut mieux ne pas manger pendant la montée , si on ne veut pas la trouver trop pénible...!

    Le 6 juillet 2015 à 18h08
  • Alain ! pour info, sur la photo principale de ton topo, où tu apparais, et juste sous le Pelvoux, on peut voir le Pointe de rascrouset ainsi que son vallon.

    Le 2 juillet 2016 à 17h11
  • Bien vu Cyril

    Le 2 juillet 2016 à 18h29
  • nadine

    belles photos c’est engagé comment as-tu fait ton selfie en plein effort ? c’est loin du sommet

    Le 24 février 2017 à 19h32
  • Mitche13

    Parcours effectué le 27 Août 2018 sous des conditions météo idéales
    La montée directe dans les blocs de rocher avec comme cap "le gendarme" => marrant
    La déscente par le chemin terreux cairné => facile
    Fichier track disponible sur demande

    Le 3 septembre 2018 à 15h07
  • Bonjour et merci pour le topo. Je rentre tout juste de l’Aiglière et me permets de faire quelques remarques sur l’itinéraire actuel (septembre 2021 donc).

    A partir de 2800-2850 m, une sente cairnée permet de rejoindre relativement facilement le névé de la crête sommitale, sans passer par "l’immonde pierrier" mentionné ici. Le problème : énormément de cairns recouvrent la face, et donc dur de s’y retrouver lorsqu’on monte (c’est plus facile en descente). La conséquence est qu’en suivant un cairn plus visible que les autres (mais posé n’importe où), je pensais suivre le "bon chemin" et me suis retrouvé dans des pentes sableuses instables à 35-40°, qui peuvent être impressionnantes voire dangereuses.

    Avec mon coéquipier, nous nous sommes donc permis de casser quelques cairns et d’en créer de nouveaux (dès la zone herbeuse des Sagnières) pour diriger les randonneurs sur cet itinéraire beaucoup plus facile, qui reste toutefois assez raide par endroits. En espérant éviter quelques frayeurs aux futures personnes qui s’aventureront là-haut...

    Le 17 septembre 2021 à 18h18
  • Merci du retour.

    Le 17 septembre 2021 à 18h39
  • Bonsoir,
    randonnée faite ce jour.
    le cheminement est parfaitement indiqué, je pense que le "travail" de Flo_Alpin a permis de ne pas se perdre et de retrouver un accès sans difficulté.
    En reprenant le descriptif d’Alain, la photo 26, en fait on passe plus à gauche, et on l’évite.
    Thierry

    Le 24 juillet 2022 à 19h56
  • Laurence

    Faite avant hier, une option intéressante :

    descente par l’arête reliant le sommet au col de l’Aiglière, quelques contournements et précautions à prendre, mais pas de difficulté majeure, ce qui permet même d’enchainer sur les pointes des Neyzets avant de revenir au col pour basculer dans la descente.

    A noter également :
    sur le petit promontoire dominant le 1er replat à 2400 il y a 2 grands cairns, on peut commencer à tirer à droite à partir de là en traversant tout de suite le torrent ( cairn ) et viser ensuite le très gros cairn idéalement placé au champ de foire. Il y a ensuite de là une trace entièrement cairnée jusqu’au sommet, dans un terrain assez agréable comparé à ce qui est décrit dans le topo.

    Le 18 août 2022 à 09h56
  • Bonjour,
    Merci du retour.
    La trace s’est améliorée avec l’augmentation de la fréquentation de ce sommet.

    Le 18 août 2022 à 10h01
  • Sommet fait ce matin en enchaînement avec les Pointes des Neyzets (après une nuit au lac des Neyzets)

    Je confirme que le balisage par cairns est désormais bien présent tout le long rendant la montée bien efficace.

    Descendu par l’arête sud vers le col de l’Aiglière comme l’indiquait Laurence plus haut.
    ATTENTION : s’il n’y a en effet aucune grosse difficulté technique (une ou deux désescalade dans le II), l’engagement est présent et le terrain merdique (contournements dans des éboulis expos). Ce n’est plus de la randonnée à proprement parler. Méfiance donc avant de s’y engager.

    Dès que je peux je mettrai une sortie.

    Le 20 septembre 2022 à 18h54
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