Circuit de Baudric, Vallon de Roya, Tinée

Difficulté :
Facile
Dénivelé :
400m
Durée :
3h30

Cette discrète vallée entre Auron et Isola n'est pas une destination très courue, et c'est tant mieux ; de nombreuses randonnées sont possibles au départ de ce vallon, plus ou moins longues, et offrant une relative quiétude fort appréciable. Cette sortie facile à flanc de colline fera découvrir de beaux sommets alentours, et pourquoi pas donnera l'envie d'y revenir pour accomplir un périple plus ambitieux... – Auteur :

Accès

Depuis Nice, monter par la RD 6202 sur la plaine du Var. Suivre la direction de la vallée de la Tinée par la RD2205. Dépasser Isola-Village et au hameau du Bourguet, s’engager à gauche et traverser le pont qui enjambe la Tinée. On atteint par la RD61 le hameau de Roya. Se garer non loin du gîte "Ma vieille école", point de départ de la balade.

Les infos essentielles

  • Carte : IGN TOP 25 n°3639 OT "Haute Tinée 1 - Auron"
  • Distance : environ 7 kilomètres en boucle
  • Altitude de départ : Hameau de Roya, environ 1500m
  • Point culminant : Environ 1850m
  • Temps de marche  : environ 3H30 hors temps de pauses
  • Balisage  : Au départ balisage rouge et blanc du GR5, puis rectangles jaunes sur le reste du parcours sur un sentier bien marqué
  • Période : Randonnée effectuée en septembre 2009.
Sensibilisation

Le milieu que vous traversez durant cette randonnée est fragile. Faites attention à la flore et ne dérangez pas la faune locale. Rapportez vos déchets et ramassez ceux que vous trouverez. Vous soutiendrez ainsi le mouvement KeepTheMountainsClean, une initiative Altituderando !

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Itinéraire

Départ du Hameau de Roya à côté du Gîte "Ma Vieille école" à la balise n°137, puis on gagne rapidement la balise n°138. Le sentier s’élève à travers les restanques et l’on croise les premières cabanes sur le flanc de ce vallon adret qui vous nous accompagner tout au long de la balade.

A la balise n°13b, prendre sur la gauche en direction du Circuit de Baudric, où l’on quitte le GR5 pour le sentier de PR et son balisage de rectangles jaunes. La direction de droite conduit elle au Col du Blainon, qui permet de basculer sur Auron via le sentier à travers une belle forêt qui évite en grande partie les pistes de ski.

Le sentier est quasiment de niveau et nous fait évoluer dans des portions qui alternent passages dans des alpages et longueurs de roches émiettées où il faut assurer son pas. En face on distingue nettement la grande silhouette sombre et élancée du Mont Mounier, le Mont Rougnous et son sommet pyramidal, le Mont Férant et sa pointe en forme d’ogive...

Le chemin va continuer ainsi sur le flanc de la montagne et redescendre jusqu’à faire nous rejoindre la balise n°141 et le torrent de Roya.

Prolonger si on le souhaite la balade par une petite visite au Trou des Corneilles à 10 minutes à partir de la balise. Il s’agit d’une arche naturelle dans laquelle passe le torrent. Malheureusement, je n’ai pas de photo de cette curiosité...

Il suffit ensuite de rebrousser chemin jusqu’à la balise n°141. Le chemin de retour nous fait emprunter une large piste forestière que l’on suit en longeant le torrent à main droite. Passage par les balises n°142, 140, 139 et 137 du départ.

Aller plus loin...

  • La voie "classique" pour aborder le Mont Mounier est plutôt celle que l’on emprunte au départ du parking du Col de l’Espaul, non loin de Valberg (voir le topo n°1230 pour trouver cet itinéraire). Mais il est également possible d’en rejoindre le sommet par le vallon de Sallevieille au départ du Hameau de Roya et la balise n°137. Le dénivelé positif sera alors d’environ 1400m, contre 1150m contre un départ depuis l’Espaul. Il faudra bien prendre en compte l’état d’enneigement depuis Roya, car la montée se fait dans un ubac (progression Sud-Est), tandis que depuis Valberg il s’agit d’un itinéraire en adret orienté Nord-Est. Il est à noter le passage au point côté 1688 à proximité d’une spectaculaire cascade, et également la présence d’un abri sommaire au point côté 2261, très utile en cas de repli sur ces pentes très exposées en cas d’intempéries.
  • Incursion sur le domaine skiable d’Auron , option 1 : en suivant le GR5 qui monte jusqu’au Col du Blainon, on atteint les pistes de ski d’Auron. Plusieurs choix sont possibles : gagner la gare intermédiaire des 2 téléphériques en descendant toujours par le GR5 à travers la forêt de l’Ubac de Blainon, et pourquoi par une petite visite par la grotte de Balme obscure par le sentier en dessous du GR5. Si l’on dispose de 2 véhicules, on peut en garer un à Roya, et l’autre sur le parking du Chastellarès qui se trouve non loin de la gare intermédiaire. Le dénivelé positif sera d’envrion 500m pour une simple traversée.
  • Incursion sur le domaine skiable d’Auron, option 2  : Au col du Blainon et la balise n°13a, suivre la crête vers l’Ouest et gagner la gare d’arrivée du Téléphérique de Las Donnas. Il est possible de gagner le sommet à 2474m pour jouir d’un superbe panorama où une table d’orientation permettra de mettre un nom sur les sommets environnants. Compter environ 1100m de dénivelé pour atteindre la cime.

. Dernière modification : 30 août 2022 (Avertissements et Droits d'auteur)

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    HISTOIRE ET LEGENDES

    CONTES ET LÉGENDES DES ALPES MARITIMES : "LE SECRET DU SEIGNEUR DE L’ALP"

    C’EST LE CURE QUI PARLE.

    Lorsque Pauline poussa la porte de la chapelle le soleil pénétra largement dans la nef mettant un terme à mon recueillement. Je quittai la pénombre et m’avançai pour l’accueillir. D’un pas rapide et souple elle approcha :
    Monsieur le curé, pardonnez-moi, je ne voulais pas vous déranger, je venais simplement fleurir la statue ...
    C’est bien, Pauline, samedi tu conduiras la procession avec les filles du village, je compte sur toi pour confectionner les couronnes de buis.

    En cette veille du quinze août, notre petite communauté de ROYA, perdue dans ses montagnes, s’activait à préparer la grande fête de la Vierge, patronne du lieu. La procession constituait le moment essentiel de cette importante journée et chacun se devait d’y tenir son rôle :. Les bergers, bâton en main, avec leurs guêtres et gilet en peau de mouton, leur grand chapeau et leur cape, les bûcherons en pantalon de velours sombre, la taille serrée par une large ceinture, les paysans cravatés de cordons multicolores, ...
    A l’avant de ce cortège, j’avançais... Jules Achiardi, seigneur de l’Alp, maître du village. Cet homme de haute taille, la barbe rousse et les cheveux poivre et sel flottant sur les épaules, fixait les pierres du chemin de ses yeux bleu clair ...

    Lorsque le samedi je reçus mes ouailles en confession, je fus très étonné de ne point entendre petite Le lendemain matin avant la grande messe, son père et son frère aîné vinrent m’avertir dans la sacristie que la gamine avait disparu depuis vendredi soir.
    Partie dans le bois de l’Ubac pour rapporter quelques brassées de buis, comme je le lui avais demandé, elle n’était plus reparue depuis.
    Jules Achiardi et ses chiens avaient battu la forêt avec les hommes du village sans trouver trace de la jeune fille.
    ...

    L’hiver se passa sans nouvelles de Pauline, mais aussi de Mélanie et Clotilde, disparues dans des circonstances tout aussi mystérieuses. ... On évoqua les loups qui n’épargnaient guère les moutons, mais l’étrange absence de cadavres et de vêtements troublait les meilleurs chasseurs

    A Pâques, Marie, la fille de Fabron, une mignonne brunette, fut emportée par une avalanche dans le vallon du Riou blanc ... là encore pas de trace du corps de la jeune fille. La seule preuve provenait du bonnet de laine que Jules Achiardi avait découvert en bordure de la coulée de neige.

    L’automne suivant, l’épouvantable fatalité qui sem¬blait s’en prendre aux filles en âge de se marier s’abattit à nouveau : Julie, servante de notre seigneur solitaire, ne revint pas de la foire de Saint-Étienne.
    Le bon Achiardi me remit les quelques affaires qu’elle possédait, avec mission de les rendre à sa famille.

    Les propos les plus divers se répandirent, mettant en cause les Piémontais qui s’embauchaient comme bûcherons ... Chaque été dans le torrent, au gros de la chaleur, les femmes à moitié dévêtues lavaient la laine des moutons. Quand elles se savaient seules, elles se baignaient nues pour se rafraîchir.
    Les bûcherons avaient même proclamé très haut que notre maître Jules appréciait fort ces spectacles, pêchant dissimulé parmi les saules en ces périodes de grande lessive.
    Un homme si pieux, d’une chasteté exemplaire, refusant les meilleurs partis, consacrant le plus clair de son temps à la chasse et à la sage administration de ses biens, seules de méchantes langues pouvaient répandre des paroles aussi calomnieuses.

    ...

    Dans ce contexte, je reçus la visite de notre maître ... il me demanda soudain de l’entendre en confession, ... Baissant les yeux, il ouvrit son cœur : « Mon père, la vie n’est pas simple. Mon éducation religieuse m’a fait un devoir d’être chaste ...Pourtant je dois l’avouer, depuis deux ans j’ai succombé à plusieurs reprises, emporté par le démon , ..., mon repentir est sincère, je souhaite réparer le mal que j’ai fait ...
    « Je pressens dans chaque créature que je croise sur les chemins un serpent tentateur, d’autant plus qu’elle m’apparaît souriante, douce et ingénue ... » Il me demanda d’être son intercesseur auprès de l’abbé Galléan et du prieur des pénitents noirs de Saint-Étienne-de-Tinée ... « Mon père, pour en sortir je souhaiterais faire retraite chez les capucins ...à l’écart village. »

    Quelques mois plus tard, Don Jules Achiardi remit tous ses biens à l’Eglise. Il vécut le restant de ses jours à Sospel, au monastère des franciscains, et mourut en odeur de sainteté, entouré de l’estime affectueuse et du respect de ses anciens sujets. Il emporta avec lui son terrible secret.

    Environ deux siècles plus tard, en 1885, les nouveaux propriétaires du château de l’Alp entreprirent des travaux de transformations. Quelle ne fut pas leur surprise de découvrir quantité d’ossements féminins à l’aplomb des oubliettes. Ainsi s’expliquaient les étranges disparitions des jeunes filles du village, qui avaient eu alors le seul tort d’attirer l’impitoyable satyre. Le sinistre château de Don Jules Achiardi, seigneur de l’Alp, dresse encore sa silhouette rustique sur un tertre herbeux, à proximité du hameau de Roya éparpillé au fond d’une vallée, dominée par le Mont Mounier.

    D’après « Les Contes et Légendes du Pays d’Azur » de l’historien Edmond ROSSI (éditions Sutton, 2010).

    Dans "ENTRE NEIGE ET SOLEIL, CONTES ET LÉGENDES DE NICE ET SA RÉGION", cette auteur raconte notamment l’histoire d’Aspremont (cf ton dernier topo).
    Je pense que plusieurs ouvrages même auteur devraient t’intéresser, entre autres :
    DU MISTRAL SUR LE MERCANTOUR
    SAINT LAURENT DU VAR
    VILLAGES PERCHÉS DES ALPES MARITIMES
    AUVARE : UN VILLAGE À DÉCOUVRIR...
    AURIBEAU SUR SIAGNE : UN VILLAGE À DÉCOUVRIR
    ASCROS : UN VILLAGE À DÉCOUVRIR
    AIGLUN, UN VILLAGE À DÉCOUVRIR.
    ASPREMONT, UN VILLAGE À DÉCOUVRIR
    A ISOLA : PROCESSIONS MACABRES ET SABBATS
    A BAR SUR LOUP : DANSONS AVEC LE DIABLE !

    Le 11 novembre 2012 à 13h52
  • Merci pour les photos du Trou des Corneilles, Hereme, que nous n’avons fait qu’effleurer par le sentier haut sans y descendre avec les enfants.
    Et merci pour ce morceau d’histoire un peu lugubre il est vrai. C’est le même Edmond Rossi dans les écrits duquel j’ai pioché la légende de la Reine Jeanne pour un topo à venir sur la Cime de Rocca Sparvièra (encore une histoire pas très gaie non plus ; il faut bien l’avouer, les drames semblent être plus faciles à retenir que les belles histoires...). Dommage, je n’avais pas connaissance de cette histoire et je n’ai donc pas pu m’arrêter devant ce sinistre château...
    Encore merci Hereme pour toutes ces informations !

    Le 11 novembre 2012 à 19h43
  • Salut !
    Tout d’abord bravo pour tout ces topo dans le 06 ce fait plaisir !
    Mais quel dommage de pas etre allé jusqu’au trou des corneilles c’est une curiosité a voir !
    Par contre pour voir la faille de 30m de haut comme on peut voir sur les photos posté plus haut, il ne faut pas suivre le chemin qui lui vous menera au pont naturel. Pour voir la faille arrivé a la 2e passerelle (celle qui traverse le vallon de Roya et limite du PNM) il ne faut pas la franchir et longer le vallon en allant d’un coté à l’autre suivant les obstacles (mais c’est relativement facile) et vous arriverez au pied de cette impressionante faille, si c’est au mois d’Aout et que vous ne craignaient pas l’eau froide, vous pouvez vous amuser à poursuivre à l’interieur (vous y verrait aussi un bloc suspendu bloqué entre les paroi), il vous faudra meme nager par moment, jusqu’a arriver au bout de cette faille avec une cascade d’environ 10 metres vous empechant d’en sortir il faudra donc rebrousser chemin. Si on poursuit le chemin une fois arrivé sur le pont naturel (on s’apercoit tres peu d’ailleurs que c’est un "pont") je conseille de poursuivre le chemin jusqu’a rejoindre un petit vallon, quitter le chemin pour le suivre et rejoindre ainsi lle vallon de roya, il ne vous reste plus qu’a le suivre jusqu’a rejoindre le départ de la faille et sa cascade vu d’en haut !

    Pour ce qui est de l’histoire, c’est marrant j’ai toujours entendu dire que le chateau était au comte de Beuil (qui s’en servait pour des parties de chasse), ce fut peut etre plus tard ??? Les ruines du chateau sont visible depuis la route bien avant le hameau sur l’autre versant indiqué sur la carte "La tour"

    Le 11 novembre 2012 à 20h53
  • Bonjour Willgreo, et merci pour ces précisions, va falloir que je fasse encore plus attention dans mes topos "méridionnaux" si maintenant il y a des connaisseurs des coins que je décrit ! En espérant que toutes les randonnées déjà présentes sur le site motivent les arpenteurs du Mercantour à poster leurs propres aventures sur Altituderando ! Ca va être la guerre de l

    Le 11 novembre 2012 à 21h27
  • désolé j’ai été coupé :
    Ca va être la guerre de la Socca contre la Tartiflette, du Pastis contre le Génépi 🙂

    Le 11 novembre 2012 à 21h28
  • Avis personnel à la Socca il vaut mieux opposer le Matafan !
    Ar’vi pa.

    Le 11 novembre 2012 à 22h08
  • Ah oui, Galipette, voilà deux plats qu’il va être difficile de départager pour leur capacité à étouffer leurs consommateurs ! 🙂

    Le 11 novembre 2012 à 22h13
  • hereme

    N’oublions pas que nous sommes dans la série "Contes et Légendes", et j’intitule mes commentaires ’Histoire et Légendes". Quant au premier comte de Beuil, sauf erreur il s’agit d’Honoré II Grimaldi en 1581. L’histoire de Jules Acchiardi est censée se passer vers 1680.

    Le 11 novembre 2012 à 22h25
  • Salut,
    Effectivement afkalizebone, depuis je me dit qu’il faudrait que je post quelques topo, mais je n’ai pas encore osé franchir le pas (la peur de mon écriture), mais si je commence a faire des commentaires, alors c’est un premier pas de franchi 🙂
    Oui bien sur il s’agit d’histoire et de légende, mais y’a toujours une part de vrai dedans, Acchiardi a bien existé, le chateau aussi, il faudrait s’amuser a faire quelque recherche pour recouper, il n’est pas impossible que l’histoire ce passe à la meme époque et que le seigneur de l’Alp était sur le territoire du Comte de Beuil.
    Ceci dit j’ai déja entendu les anciens parler des ossements découvert... et aussi d’un trésor caché qui n’est toujours pas retrouvé.

    Quant a la guerre Pastis/ Génépi elle n’a guere lieu d’etre, le Génépi étant une boisson aussi du mercantour. Avec la chartreuse peut etre :)))

    Le 12 novembre 2012 à 12h50
  • ah ben voilà, il suffisait de se lancer ! Oui c’est vrai willgreo et Hereme je me suis un peu emballé en parlant d’Histoire avec un grand H mais ce sont aussi ces récits qui la construisent (et quand on voit la guerre parfois que se livrent les historiens quand il s’agit de savoir qui a fait quoi, quand, pourquoi et pour quelles raisons, les légendes me paraissent aussi sures que ce que l’on présente comme étant vrai ^^).
    En espérant donc que ce ne sera que ce commentaire sera bientôt suivi d’un topo. Pas de raison de s’inquiéter, on a tous connu les hésitations de notre premier pas littéraire... et puis si tu connais le Mercantour et que tu as quelques photos de sorties, cela permettrait d’étoffer le nombres de balades proposées sur le site !
    Effectivement, le Génépi est partout présent dans les Alpes, et de la Chartreuse ou du Génépi j’en emporte en balade, mais pas le pastis, qui ne réchauffe pas assez à mon goût lorsqu’on arrive au sommet !
    A très bientôt et au plaisir de te lire bientôt j’espère !

    Le 12 novembre 2012 à 14h18
  • hereme

    Pour Wilgreo.
    WANTED. Pourrais-tu me préciser où se trouvent exactement les ruines du château dont tu parles ?
    (Le territoire du compte de Beuil était à peu près un triangle : mont Mounier au nord, Tinée à l’est, Cians à l’ouest et Var au sud).

    Le 12 novembre 2012 à 15h16
  • hereme comme je l’ai dit plus haut, les ruines se situe sur la rive coté mounier, un peu plus bas que roya, indiqué sur la carte "La Tour" : http://www.geoportail.gouv.fr/accueil?c=6.936434992550169,44.18948556932393&z=0.00003544043466488502&l=GEOGRAPHICALGRIDSYSTEMS.MAPS.3D$GEOPORTAIL:OGC:WMTS@aggregate(1)&permalink=yes
    Ceci dit maintenant j’ai un doute c’est peut etre meme plus bas au niveau de Pra Gela, enfin bon c’est dans cette zone. Apres c’est possible que je me trompe, mais il me semble bien l’avoir entendu et l’avoir lu dans le livre "St etienne jadis et Aujourd’hui" mais je peut pas vérifier je ne l’ai pas à mon domicile principal .

    Le 12 novembre 2012 à 18h09
  • Zut, pour le lien ca marche pas parce que le site l’a coupé, si vous rajouter au lien ce qu’il y a a la suite ")&permalink=yes" ca marche ;)

    Le 12 novembre 2012 à 18h13
  • hereme

    Merci, j’ai trouvé : 44° 11’ 21.52" N, 6° 56’ 06.44 E, avec un vestige de sente qui y va, et qui descend ensuite à la passerelle de Pra Gela.

    Le 13 novembre 2012 à 00h28
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