Circuit de Vareilles - Échalas N° 1

Difficulté :
Facile
Dénivelé :
240m
Durée :
2h00

Court circuit au nord du Pilat et à l'ouest du village d'Échalas, sur le plateau et dans la Combe de Vareille que nous descendons jusqu'au Gier. La curiosité de la randonnée, c'est la Pierre du Gonty et ses dizaines de cupules qui remontent à la nuit des temps. – Auteur :

Accès

  • Village d’Échalas, situé au nord du massif du Pilat, à 12km de Rive-de-Gier et 15km de Givors
  • Nombreux parkings dans le bourg
  • Panneau des randonnées à l’est du bourg, entre l’église et la mairie

Précisions sur la difficulté

  • Randonnée sur sentiers, chemins et petites routes rurales
  • On longe brièvement et on traverse la peu fréquentée D103
  • Du plateau à la vallée du Gier, descente et remontée par des sentiers raides

Les infos essentielles

  • Carte IGN : 3032 SB
  • Altitude minimale : 187 m
  • Altitude maximale : 392 m
  • Distance : environ 8 km
  • Horaires : environ 2h00
  • Balisage : Blanc/jaune parfois avec Échalas 1
  • Balises à certaines intersections
    • en 2019 : balisage ancien mais correct
Sensibilisation

Le milieu que vous traversez durant cette randonnée est fragile. Faites attention à la flore et ne dérangez pas la faune locale. Rapportez vos déchets et ramassez ceux que vous trouverez. Vous soutiendrez ainsi le mouvement KeepTheMountainsClean, une initiative Altituderando !

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Itinéraire

D’Échalas au Gier

Du parking, rejoindre le centre du bourg, nord-ouest. Première balise en contrebas de la Place de l’Église.

Sortir du bourg en suivant sur 450m la Route de Trèves (D103), ouest puis sud-ouest.

Prendre à gauche, sud, la Route d’Hénin, direction la Madone et le Gonty.

À la bifurcation de la cote 377, continuer à gauche, sud. Atteindre un carrefour, balise.

Prendre à droite, ouest, direction le Toret 1,4km.

Le chemin passe à 60m de la statue de la Vierge, dite Madone et atteint le carrefour du Gonty à la cote 377.

Prendre le second chemin à gauche, sud-ouest, 200m plus loin, tourner à droite, ouest.

  • 250m plus loin, il est possible, hors période de pousse de l’herbe de longer la haie à droite, nord, de gagner le carré de landes au centre duquel se trouve la mystérieuse Pierre du Gonty, vestige de temps oubliés
  • Cette pierre est aussi connue sous les noms de Pierre Blanche ou Pierre Guittard

Au Toret, suivre la petite route à droite, nord-est.

Rejoindre la D103, la suivre à droite sur 40m, atteindre une balise.

Continuer par le chemin, direction Vareille (sans S), nord-est.

Traverser une route de desserte, continuer le chemin jusqu’au hameau de Zalanon.

Atteindre le carrefour de la cote 320. Prendre à gauche, nord-ouest, descendre jusqu’au chemin qui surplombe le Gier.

Du Gier à Échalas

Le Ruisseau de Vareilles traverse le chemin par un gué en béton.

Sitôt le gué franchit, prendre le sentier de droite, nord-est.

Franchir le pont sur la voie ferrée et remonter sur le plateau.

Rejoindre le Chemin de Vareilles et le suivre jusqu’au bourg.

Informations

. Randonnée réalisée le 7 mars 2019

. Dernière modification : 8 novembre 2022 (Avertissements et Droits d'auteur)

Auteur :

Réagissez !

  • Pierre de Gonty : enfin un texte mesuré, loin des élucubrations habituelles qui voient n’importe quoi n’importe où avec n’importe quelle signification.

    Le 13 mars 2019 à 20h52
  • Oui Robert, voilà qui nous change des lignes d’énergie ou des réseaux cosmo-telluriques.
    Toutefois, il y a eu un rapprochement entre un groupe de cupules et une Constellation.

    Le 14 mars 2019 à 13h15
  • Objection votre honneur, ce genre de rapprochement n’a rien de scientifique. En prenant quelques emplacements connus dans le Paris intra-muros, je peux retrace une image de l’Ursa Minor ou tout autre constellation selon les définitions actuelles. Si l’on ne peut nier que l’homo sapiens observe le ciel depuis des millénaires, il en a peut-être gravé des observations dans la pierre, premier support durable, ou procédé à un arrangement de blocs en guise de monuments.
    De là à associer des symboles célestes, les constellations, créés peut-être pour les plus anciens par les Babyloniens, mais surtout à l’époque hellénistisque selon la cosmologie de l’époque, notamment par Claude Ptolémée qui en ajouta 36 aux 12 du zodiaque classique, à des "creux" sur une pierre (artefacts ou vestiges d’inclusions rocheuses disparues ?), cela n’a rien de sensé.
    Le Dauphin : "créé" par Claude Ptolémée, pourquoi vouloir l’associer à l’image qu’en avait une civilisation de l’époque mégalithique, voire antérieure ? La constellation voisine de l’Aigle avec Altaïr (magnitude d’environ 0,8, contre les "petits" 3,63 de β du Dauphin, dix fois plus faible), ou celle du Cygne avec Deneb (magnitude 1,25) eurent dû plus accrocher la vision de nos ancêtres. Il ne faut donc plutôt s’occuper que des étoiles les plus brillantes, sans y associer des images artificielles créées des millénaires plus tard. Par ailleurs trois légendes se rattachent à l’existence du "Dauphin" : celle de la néréide Amphitrite, celle du poète Arion de Méthymne, celle de Dionysos allant à Argos,

    Le 14 mars 2019 à 20h47
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