Mont Buet (3096m), en boucle par Tré les Eaux et le Cheval Blanc

Difficulté :
Difficile
Dénivelé :
2100m
Durée :
12h

Point culminant entre le Haut-Giffre et les Aiguilles Rouges, le Buet est un magnifique promontoire accessible par de nombeux itinéraires sur la plupart de ses versants, chacun ayant son propre caractère, mais tous demandant un effort conséquent. L'ascension de ce superbe sommet par le vallon de Tré les Eaux démarre dans le décor de ce magnifique vallon, pour ensuite rejoindre le plateau de la Terrasse et sa multitude de lacs d'altitude, puis continue sur le Cheval Blanc, dominant de manière spectaculaire les lacs d'Emosson. Ensuite, c'est un long parcours sur des crêtes lunaires pour rejoindre le point culminant, le Buet, où le panorama s'étale sur tous les versants, notamment en direction du sauvage envers des Aiguilles Rouges dominé par l'étincelant massif du Mont Blanc. La descente s'effectue finalement par la voie normale, tout d'abord dans de grandes pentes lunaires, puis finalement dans le long et verdoyant vallon de Bérard. Un superbe périple qui se mérite... – Auteur :

Accès

Chamonix ou Vallorcine - Route du col des Montets - le Buet, parking vers la gare, ou au-dessus au hameau du Couteray. Egalement accessible en train, par la ligne Le Fayet - Chamonix - Le Buet - Vallorcine - Martigny.

Précisions sur la difficulté

Outre la longueur conséquente de la rando aussi bien en distance qu’en dénivelé, le parcours est assez irrégulier, alternant montées, descentes et longues sections plus ou moins plates, sur un terrain lui-même irrégulier où il est difficile de trouver un rythme de marche.

Le sentier est plus ou moins présent sur la longueur du parcours, tantôt bien marqué et balisé, tantôt moins, mais l’itinéraire ne pose guère de difficultés par visibilité correcte.

Il existe quelques difficultés techniques, notamment dans l’accès au vallon de Tré les Eaux un mur de dalles que l’on franchit à l’aide de rampes et de chaînes, ainsi qu’un ressaut équipé de câbles pour accéder à la crête sommitale du Buet. Ces ressauts sont relativement faciles, mais longs et exposés, demandant ponctuellement de tirer sur les bras pour progresser. Ailleurs, il y a quelques courts passages demandant de l’attention, notamment quelques dalles inclinées à franchir dans le vallon de Tré-les-Eaux et dans celui de Bérard.

Les infos essentielles

  • Altitude départ : 1340m.
  • Altitude sommet : 3096m.
  • Carte : IGN TOP25 3630OT Chamonix- Massif du Mont Blanc.
Sensibilisation

Le milieu que vous traversez durant cette randonnée est fragile. Faites attention à la flore et ne dérangez pas la faune locale. Rapportez vos déchets et ramassez ceux que vous trouverez. Vous soutiendrez ainsi le mouvement KeepTheMountainsClean, une initiative Altituderando !

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Itinéraire

Période

Praticable en conditions estivales, dès que les névés d’altitude ont suffisamment fondu, notamment dans les pentes du Cheval Blanc et sur le crête des Eves. On attendra donc en général mi-juillet, des crampons pouvant être utiles en début de saison.

Parcours

Montée au plateau de la Terrasse, 4h

Monter en direction des chalets de Sur le Rocher, puis poursuivre le sentier balisé en direction de Tré les Eaux. Après une bonne traversée en forêt clairsemée, on atteint le torrent de Tré les Eaux, puis les premières difficultés, un ressaut de dalles à franchir par un long dièdre équipé de rampes et de chaînes. Les prises sont parfois glissantes, d’autant plus que par endroits, de l’eau suinte dessus, et il faut parfois un peu tirer sur les bras... On peut cependant éviter ces difficultés en parcourant le sentier passant par les Granges, ce qui rallonge le parcours d’environ 30 minutes.

On débouche dans le magnifique vallon de Tré les Eaux, et le sentier poursuit plus ou moins horizontalement à flanc jusqu’au replat de la Gouille au Bouc. Il remonte ensuite à droite pour se faufiler dans les gazons entre de belles dalles moutonnées jusqu’à un replat offrant une belle vue sur le glacier de Tré les Eaux.

On poursuit longuement l’ascension vers le nord des pentes supérieures du vallon en suivant un torrent bordé par une échine de roches claires marquant la transition géologique entre le cristallin (à droite) et le sédimentaire (à gauche), pour finalement déboucher au collet derrière lequel se trouve le plateau de la Terrasse et ses multitudes de lacs, dont le plus important est le lac Vert.

Ceux qui veulent (et qui ont le temps) de faire un peu de tourisme pourront faire le tour de quelques lacs par un parcours hors traces dans les dalles à droite du sentier, quittant celui-ci au replat sous les lignes electriques. On découvrira plusieurs jolis lacs en remontant au mieux en direction de la Pointe de la Terrasse, tout en observant la richesse des couleurs des roches de cette zone de transition géologique. Objectif possible du détour, la Pointe de la Terrasse offre un fantastique panorama plongeant versant Loriaz depuis le massif du Mont Blanc jusqu’aux Alpes valaisannes et bernoises... On redescendra en longeant les rives de lac Vert.

En guise d’échappatoire, il est possible de redescendre par le col de la Terrasse et les chalets de Loriaz, en 2h30. Cette boucle est déjà en soi une magnifique randonnée.

Montée au Cheval Blanc, 1h30

Depuis le collet, descendre vers l’ouest en traversée versant Emosson sous la Pointe à Corbeaux par des traces dans les pierriers, pour rattraper le sentier montant depuis les traces de dinosaures d’Emosson en direction du col du Vieux. La montée se poursuit en lacets dans les pentes est du Cheval Blanc, de plus en plus raides au fur et à mesure que l’on s’approche du sommet. Une dalle se franchit facilement à l’aide d’une chaîne. On aboutit au grand cairn du sommet, où la vue s’ouvre sur l’autre versant.

On notera qu’une sente permet de traverser du collet vers le col du Vieux par une trace contournant la Pointe à Corbeaux versant Tré les Eaux, évitant de trop redescendre. Cependant, cette trace est étroite, parfois malcommode et exposée, et il y a peu d’intérêt à la suivre.

Pour ceux qui souhaitent raccourcir la balade, on peut éviter de passer par le plateau de la Terrasse en rejoignant le col du Vieux directement depuis le vallon de Tré les Eaux. Quittant le sentier au niveau du replat par une trace traversant l’échine de roches claires, on montera ensuite à vue les gazons puis les pierriers en négociant au mieux les lits de torrents en direction du col du Vieux. Cette variante permet de raccourcir la balade d’environ 1h, mais on se prive des jolis lacs...

Traversée vers le Buet, 2h30

Suivre la large crête vers le sud-est, puis descendre légèrement versant est pour rejoindre les larges étendues lunaires du col du Genévrier. De légères traces marquent le parcours, mais on se dirigera essentiellement à vue, ce qui par bonne visibilité ne pose aucune difficulté.

Poursuivre vers le sud, en contournant la Pointe du Genévrier par la gauche dans les larges étendues pierreuses du versant est, prenant de l’altitude mais sans monter trop haut. Basculant dans le versant sud-est, on visera la crête des Eves en traversant au mieux le grand dévers pierreux un peu pénible, s’aidant d’éventuelles légères traces.

Au col des Eves, on rejoint le sentier montant du Grenairon. Le suivre sur la crête vers le sud. Après quelques traversées exposées sur un dévers de boues schisteuses délicates si humides, on aborde les câbles permettant de franchir le ressaut de la crête. C’est plus facile que ça en a l’air, même si trois courts ressauts demandent de l’attention, et peuvent nécessiter de tirer un peu sur les bras.

On débouche sur la débonnaire crête sommitale. Remonter celle-ci longuement... Et on découvre sa longueur au fur et à mesure, d’autant plus que l’altitude et la fatigue se font sentir... Ce n’est que le grand cairn sommital qui indique l’arrivée...

Finalement le sommet, et si la météo est de la partie, la vue est fantastique. A l’ouest, le Haut-Giffre et le Chablais sont largement dominés. Au sud, le vallon de la Diosaz, Anterne et les Fiz, et derrière les Aravis. Au sud-est, les sommets déchiquetés de du sauvage envers des Aiguilles Rouges est dominé par la masse étincelante du Mont Blanc. A l’est, les glacier du Tour et d’Argentières, séparés par les aiguilles du Tour, du Chardonnet et l’Aiguille Verte. Loin derrière, les "4000" du valais suisse, la vallée du Rhône, et au fond l’Oberland bernois. Puis au nord, les Dents du Midi bien acérées...

Le sommet étant assez plat, on ira volontiers sur les rebords, descendant notamment un peu vers l’est sur l’arête des Cristaux pour une meilleure vue, mais en faisant attention aux éventuelles corniches pouvant subsister même l’été...

Descente par le vallon de Bérard, 4h

Suivre vers le sud la crête en direction du relais radio. On passe à côté de l’abri Pictet, gros cairn habitable...

Basculer vers le sud-est sur la trace descendant en lacets les grandes pentes caillouteuses. Un petit détour vers le rebord des Contreforts du Buet offre une vue impressionnante sur le haut vallon de la Diosaz.

Le sentier traverse vers l’est sous l’Aiguille de Salenton, souvent recouvert de névés tardifs. Une fois dépassé la bifurcation vers le col de Salenton, le sentier, jusque là très agréable, aborde un labyrinthe de dalles que l’on franchit péniblement, en évitant de s’égarer à cause de l’abondance de cairns (seule la peinture rouge fait foi). Eviter de trop descendre et toujours tirer à droite. Les dalles sont heureusement rugueuses et accrochent bien si elles sont sèches. On aborde ensuite une zone de gros blocs rocheux très pénible à traverser. Finalement, le sentier, toujours assez pierreux, rejoint les grandes pentes herbeuses, descendant en lacets en direction du refuge de la Pierre à Bérard.

Du refuge, poursuivre le sentier descendant vers le fond du vallon, plus ou moins horizontal. C’est long, surtout avec la fatigue de cette longue journée. Finalement, on descend en forêt, et on aboutit à la bifurcation permettant soit de remonter un peu en direction des chalets de Sur la Pierre et descendre vers le Couteray, soit de descendre par la cascade du Bérard vers le village du Buet.

Détail de la sortie du 2 septembre 2014

C’est ce jour qu’il aura fallu attendre, rare jour de grand beau annoncé pour cet été coïncidant avec une disponibilité totale sur la journée pour aller effectuer la première "grosse" estivale de cette année...

Cette petite boucle me trottait dans l’esprit depuis un certain temps, et je guettais la première opportunité pour la faire... En août idéalement pour que les névés aient suffisamment fondu, mais guère plus tard pour profiter de journées suffisamment longues...

Départ à 8h du matin sous un ciel qui s’annonçait magnifique. Le soleil me rejoint dans la montée vers le vallon de Tré les Eaux, et la beauté de ce vallon éclairé par le soleil matinal m’explose à la figure sitôt que j’y mets les pieds... Alors qu’ailleurs, le vert estival des alpages était mis à mal par l’automne qui frappait à la porte, celui-ci demeurait bien vif dans ce vallon, juste teinté par endroits de reflets jaunâtres, et contrastait vivement avec dalles et falaises de couleur variées... Ce n’est que la crainte de vider ma batterie avant la fin de la rando qui m’empêchait de mitrailler des photos à chaque détour de sentier...

La montée vers la Terrasse est longue, mais la beauté du paysage fait oublier la fatigue... Sous le collet, je décide de sortir du sentier pour aller visiter quelques lacs, souvent ignorés car inaperçus par ceux qui suivent le sentier, et pourtant magnifiques... De lac en lac, je décide de prolonger le détour en direction de la Pointe de la Terrasse, grimpant au mieux entre dalles et bosses rocheuses multicolores... Faisant abstraction des horribles pylônes haute tension défigurant le lieu, j’atteins finalement la pointe, pour profiter de la vue plongeante sur Loriaz et de tout le panorama s’étalant autour de moi dans une atmosphère parfaitement claire...

Tourisme, repos, casse-croûte, l’heure avance alors que mon périple est loin d’être fini... Retour au lac Vert, en constatant que mon périple m’a presque retardé de 1h30... Il est d’ailleurs 13h30, direction le Cheval Blanc...

Sommet atteint vers 15h, après une montée sans problèmes si ce n’est l’horreur de constater que le lac du Vieux Emosson avait été complètement vidé par les travaux du barrage... Bon, avec un barrage rehaussé, on aura plus tard un lac plus grand... En attendant, les travaux se poursuivent, avec quelques tirs de mines dérangeant la quiétude du lieu par des boums fracassants...

Alors que le ciel avait été parfaitement clair jusqu’à présent, le versant ouest de la montagne était bouché par une nappe de stratocumulus formant une belle mer de nuages que quasiment aucun sommet sous 2800m ne perçait... Mais le ciel était encore clair sur ma montagne pour la suite du périple...

C’est parti pour la longue traversée sur ces étendues minérales lunaires... Le contournement de la Pointe du Genévrier se fait sans difficultés, si se n’est la fatigue du dévers de pierrailles pour rejoindre le col des Eves... On aborde les câbles de l’impressionnant ressaut alors que les nuages butant sur la montagne bouchent complètement le versant ouest, contribuant à l’ambiance austère...

Enfin, la crête sommitale est atteinte. Mais, croyant que le sommet se trouve juste derrière tel ou tel ressaut, on la voit continuer derrière encore et encore, les jambes lourdes de fatigue et le souffle coupé par l’altitude... Ce n’est que le gros cairn sommital qui montre que cette fois on y est bien...

17h30, seul au sommet. Les nuages qui commençaient à déborder et envahir le versant est de la montagne. Ils avaient déjà complètement recouvert les Aiguilles Rouges et léchaient la crête sommitale, ne montrant des Alpes françaises que le massif du Mont-Blanc, et de l’autre côté les Ruans, visibles par de belles trouées. Seules les Alpes suisses étaient visibles au loin. Le décor est joli, mais pour l’énumération extensive de tous les sommets de la région, il faudra repasser (Ensoleillement 100% d’après la météo de Chamonix ?). Les nuages vont certainement redescendre à la fin de la journée, mais pas le temps d’attendre, il est 18h et la descente est longue...

C’est parti en direction du vallon de Bérard. On plonge dans les nuages dès le relais radio, et la descente s’effectue efficacement sur le sentier dévalant les pentes pierreuses... Le décor est gris, on ne s’attarde pas trop... La vue se dégage sous la nappe sous le col de Salenton, alors qu’on aborde les pénibles dalles... Le cairneur fou a encore cairné, et il ne faut pas se laisser égarer, recherchant les marques de peinture rouge. Quelques désescalades en adhérence sur un rocher heureusement sec et rugueux, voilà maintenant l’amoncellement de blocs rocheux qu’il faut traverser... La prudence est de mise, car la fatigue limite la capacité à rattraper un faux pas...

Finalement, le refuge de la Pierre à Bérard. On ne s’y attarde pas, car la nuit arrive bientôt et le vallon de Bérard est long, très long... On sortira la frontale alors que le chemin descend en forêt, et sa lumière blafarde me guidera jusqu’au retour vers 22h.

. Dernière modification : 21 juillet 2022 (Avertissements et Droits d'auteur)

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  • Bonjour Pascal,

    Très belle sortie, et topo très complet j’ai bien envie de suivre tes traces ;)

    Est-ce que ce tour est envisageable dans le sens inverse compte tenu des obstacles ? Les jours étant plus court, il me parait plus raisonnable (et intéressant ?) de monter de nuit par le Vallon de Bérard. Ou alors passer par les Chalets de Loriaz dont vous parlez, mais cet itinéraire est-il aussi intéressant ?

    Merci d’avance pour vos conseils !

    Le 12 octobre 2014 à 17h24
  • Bien joli tout ça Pascal, et toujours des photos très explicites et qui donnent envie de venir faire un tour 🙂

    Le 13 octobre 2014 à 00h15
  • C’est parfaitement envisageable dans l’autre sens ! Ma prinipale motivation pour le sens choisi est de parcourir le vallon de Tré les Eaux en matinée, à l’heure où il est magnifique au soleil ! Ce vallon vaut à lui seul le détour, particulièrement en cette saison... Mais il plonge rapidement dans l’ombre l’après-midi, et il est certainement peu évident à parcourir de nuit. C’est pour ça que dans l’autre sens et en cette saison, je pense qu’il faut effectivement descendre par les chalets de Loriaz, beaucoup moins délicat si on se fait prendre par l’obscurité...

    Le 13 octobre 2014 à 00h33
  • Foxy

    Magnifique !! j’ai fait la montée de la Terrasse par Trè les Eaux (très sauvage)...mais je suis redescendu par les chalets de la Loriaz. Cette option avec retour par le Buet est vraiment somptueuse et les photos sont superbes...Bravo !

    Le 13 octobre 2014 à 13h29
  • Bonjour tout le monde,

    Suite à ce topo, j’ai réalisé ce magnifique itinéraire le week-end dernier.Finalement dans le même sens que celui décrit (merci Pascal pour les conseils).

    Vous pouvez retrouver le compte rendu sur mon site : http://www.maxencepioteyry.fr/traverseacutee-du-buet-3096.html

    Bon week-end !

    Maxence

    Le 25 octobre 2014 à 18h37
  • Benjamin

    Bonjour, est ce que ca passe avec un chien au niveau du col des Eves ?

    Le 14 août 2016 à 05h39
  • Ça dépend du chien (grand/petit, agile/balourd, mesuré/tout fou...), du terrain (sec ou détrempé) et prévoir en conséquence le portage. Et de l’eau ! A titre indicatif avec 3L j’étais à sec sur la fin malgré un certain rationnement en mangeant peu de neige à l’occasion.

    Il y a quand même la possibilité de le porter, les chaînes sont surtout là pour rassurer.

    Le 1er septembre 2016 à 21h00
  • MOS 2017

    Bonjour,

    Merci pour cette belle rando. Pouvez-vous SVP me dire quel est le meilleur endroit pour bivouaquer ?
    Je vous remercie.

    Le 26 juillet 2017 à 10h07
  • YOHAN

    Bonjour !
    L’itinéraire a l’air top, y a t’il moyen de p’anter la tente pour profiter de la tombée de la nuit au buet ?

    Le 5 septembre 2021 à 11h10
  • Bonjour,
    Je reprends la question de Benjamin : il y a t-il des passages où il faudrait obligatoirement porter un chien lors de cet itinéraire ? (un passage où un humain doit mettre les mains sur un ou 2 mètres car la pente est trop raide par exemple)
    Je précise que ma chienne est habituée aux sorties en haute montagne, mais est trop lourde pour être portée sur un terrain délicat.
    Merci d’avance pour vos réponses.

    Le 2 août 2022 à 08h34
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