Monastère de la Grande Chartreuse (978m) par le Pont des Allemands

Atteindre Saint-Laurent-du-Pont soit de Voiron par la D 520, soit de Pont-de-Beauvoisin ou Chambéry par la D 1006 puis la D 520.

Aux feux dans Saint-Laurent-du-Pont, prendre la route du col de Porte (D 520b) jusqu’au Pont des Allemand (main gauche en montant), 1km après le dernier des trois petits tunnel.
Se garer à la barrière.

Promenade d’une heure à une heure et demie si l’on prend son temps
Aller-retour, sur une route/piste forestière fermée à la circulation.

Promenade apaisante, bol d’air, dans un cadre unique. Le paysage est sublime, à la hauteur de ce lieu de prière, de méditation, de silence.
Le respect du silence absolu et de rigueur.

ITINÉRAIRE :

Remonter la route/piste du parking des Allemands (800m) jusqu’au monastère, et la ferme juste au-dessus à l’orée de la forêt domaniale, un peu au-dessus de la côte 978m.

La piste continue vers le col de Bovinant et les Petit et Grand Som au sud, ou par un grand virage à gauche vers le Habert de Billion, les rochers d’Arpison ou le col de la Ruchère.

Monastère de la Grande Chartreuse, le 6 Février 2019

Bol d’air

L’idée de ce topo, de cette promenade est juste, mais c’est déjà énorme, de vous montrer comment c’est beau là-haut en ce moment.

L’hiver, c’est impressionnant sous les cuchons de neige avec les grandes parois du Grand Som.

Aujourd’hui, avec la Chartreuse sublime devant les yeux, c’est une souffrance que de rester derrière mon bureau les yeux rivés sur mon ordi.

À midi, hop un coup de voiture, et je file au monastère, l’APN autour du cou.

Marcher quelques instants dans la neige, taper la discussion avec les skieurs qui descendent, les raquetteurs qui montent, les militaires qui en bavent, bref moment sympa.

Mais surtout aller se plonger dans l’univers bienveillant de ce désert sous la magistrale paroi du Grand Som.

Je me suis régénéré !

Inutile de dire que de retour à 14h devant mon ordi qui n’a pas eu la géniale idée de rendre l’âme, je n’ai pas été productif l’après-midi.

Mon esprit est resté là-haut. Je crois que je vais y retourner souvent moi...