Sortie du 11 octobre 2017 par galipette Mont d’Orisan (1762m) par Nant Fourchu

Bonjour Galipette,

Belle idée d’enfin parler des Patous de façon positive ! À bientôt

Gérard ceux-ci sont particulièrement sympathique de même que ceux que l’on peut rencontrer vers le col du Drison contrairement à ce qui a pu être mis en commentaire sur une sortie. Même si tous ne sont pas de "bonne pâte" il y aurait beaucoup à faire pour éduquer les randonneurs.

Chère Joëlle, J’aime beaucoup vos interventions et suis souvent d’accord avec vous ? Mais pouvez-vous m’éclairer sur la façon de m’éduquer, moi vieille randonneuse depuis plus de 25 ans, lorsque je suis agressé par 5 chiens hargneux loin de tout troupeau sur un GR, ou mordue par un bâtard de chien de chasse (et ce n’est pas une insulte, c’était un vrai bâtard !) encore sur un GR, ou encore méchamment agressée par 4 patous encore sur un GR, m’obligeant à des détours hasardeux et dangereux ? Voir mon intervention dans un précédent forum.......Et je précise moi aussi que je n’ai pas peur des chiens, que je les respecte et que je me tiens aussi loin que possible des troupeaux.......Après, j’ai sûrement encore beaucoup à apprendre..........Avec tout le respect que je vous dois !

Et je voudrais ajouter que j’ai aussi rencontré de braves patous bien sympathiques, mais malheureusement ça ne console pas de l’agressivité des autres quand on les rencontre !

Tout arrive !
C’est l’exception qui confirme la règle !
Mais au final entre la mi-juin et la mi-septembre je préfère ne pas en rencontrer et j’essaie de choisir les endroits où il n’y en a pas .
Chanceux cet été, car je n’en ai pas vu un : Iseran, Mont-Cenis, Petit Saint Bernard, secteur des Moucherolles dans le Vercors, Étale dans les Aravis, Italie ...).
On pourrait peut-être faire une "carte" où la possibilité d’en rencontrer est faible.
Même si ce n’est plus d’actualité maintenant.

Nadine, je ne voudrais pas avoir l’air d’une "donneuse de leçons" mais on a fait aux chiens de troupeaux et plus particulièrement aux patous une réputation qui induit un comportement de défense et de peur. Concernant ces deux là (et leurs collègues des Drisons) ils ont été taxé d’agressifs, hargneux et dangereux (commentaires sur une sortie).
Je pars du principe qu’un patou qui aboie lance un avertissement et nous jauge à nous de nous comporter en conséquence et accepter qu’il vienne nous renifler.
C’est ma façon de fonctionner, il se peut qu’un jour je vive une expérience toute autre.

Johnny je ne pense pas que ce soit une exception ! j’en ai rencontré un tout aussi débonnaire du côté des lacs de la Tempête.