Sortie du 21 octobre 2017 par sugar mountain La tourbière du Peuil (1000m) par Malhivert

Beau temps, avec un léger voile nuageux et un peu de vent de sud.
Températures agréables.

Départ du col de Comboire, plus précisément de l’arrêt de bus n°21 de la TAG, pour ensuite remonter une petite route avec quelques raccourcis, en passant par le hameau de Bouveyres. Je retrouve alors l’itinéraire balisé du topo au point 573m.

Arrivé sur la route du Peuil du côté du Gampas, j’ai bien l’intention de profiter, encore et toujours, des recoins secrets du secteur. Je pars ainsi rejoindre de vastes pâturages où se dresse, avec sa grange, la belle Maison du Sergent retapée récemment. Puis après avoir profité d’un belvédère tout proche, je suis un sentier en balcon traversant la combe de la Robine.
Une halte à l’étonnante cabane du même nom me fait découvrir l’étendue des dégâts (toute relative) du début d’incendie en août dernier sur le promontoire boisé à proximité. Heureusement l’abri, qui n’a pas encore fêté sa première année, n’a pas subi de dégâts... et surtout que le feu ne se soit pas propagé dans la pente boisée des alentours.

Puis, remontée directe à la Grange de Mure pour déboucher de nouveau sur la route du Peuil. Après avoir retraversé la combe de la Robine, je prends un chemin en direction de la clairière des Douze Apôtres. Je trouve alors le départ du bien beau sentier de découverte m’amenant à la tourbière.
Afin d’éviter route et piste passant par le parking et le hameau du Peuil, je décide de filer au nord de la tourbière dans une combe pour retrouver un bon sentier descendant à une maison au point 952m.

Je boucle alors la boucle en retrouvant la route du Peuil du côté du Gampas. J’ai alors l’idée saugrenue de redescendre sur Malhivert par un sentier abandonné, connu uniquement des locaux. Une trace m’amène à la combe du ruisseau du Bessat où je retrouve cet itinéraire, autrefois bien balisé. Des troncs et des branches mortes servent parfois d’obstacle, mais curieusement je le trouve plus agréable que celui emprunté à l’aller passant par Rif Talon.

Enfin, de Malhivert, je dévale quelques rues pour retrouver un arrêt de bus à la « Croix Rolland ».