Sortie du 8 février 2018 par ViveLaMontagne67 Le Petit Ballon (1272m)

Chevreuils, arbres majestueux et belles ambiances hivernales figurent au menu des belles surprises qui m'ont été offertes à l'occasion de cette rando. Mais il y a aussi eu une sacrée frayeur (heureusement sans conséquences), lors de cette rencontre avec un gros chien agressif en liberté, au retour dans Wasserbourg. Même si ça s'est bien terminé, j'en ai encore des sueurs froides en y repensant... J'ai eu de la chance. Mais comment ne pas s'imaginer d'autres tournures que ça aurait pu prendre, avec des issues beaucoup moins heureuses ?... Bref. Encore un traumatisme de plus sur ce thème. Pourvu que mon ange-gardien veille toujours sur moi en pareilles circonstances et que ça ne reste qu'une phobie ...

Itinéraire, carte // Fiche topo

Topo de référence

Pour découvrir la carte, l'itinéraire et les infos détaillées, veuillez consulter le topo de référence

Conditions météo

  • 3°C à 10h30 et -1°C à 18h à Wasserbourg.
    Beaucoup de pollution stagnante sur la plaine d’Alsace et un voile nuageux tenace en altitude.
    Presque pas de vent. Y compris au sommet du Petit Ballon (1272m). C’est sûrement pour ça que les nuages ont plus ou moins stagné et que le soleil ne s’est pas montré autant que ce qui était prévu.

Récit de la sortie

Je suis à la recherche d’une journée de rando ensoleillée depuis début novembre. Déjà 3 mois !... Ça me manque vraiment !
À chaque fois que je vais quelque part avec des prévisions météo encourageantes, ça fait pschitt ...
Au mieux, je dois à chaque fois me contenter de quelques apparitions. Ça a suffi à mon bonheur fin novembre autour de Baden-Baden. Et puis j’ai aussi pu compenser avec de belles ambiances brouillardeuses que j’aime bien.
Mais ça me manque quand même d’avoir une journée d’hiver ensoleillée du début à la fin. J’ai été très gâté à ce niveau l’hiver précédent. Peut-être trop ? C’est peut-être pour ça que c’est dur à accepter la situation cet hiver.

En tout cas, les prévisions météo annoncent une belle journée ensoleillée pour ce jeudi 8 février. Donc même si j’ai pris l’habitude de me méfier, j’improvise la veille de poser ma journée pour saisir cette opportunité et mieux pouvoir supporter la grisaille annoncée pour le WE à suivre.

Au réveil à Strasbourg, c’est la grisaille et je commence à me dire que l’éternel scénario de ces derniers mois risque de se répéter.
Pas mieux sur la route, d’abord dans la plaine d’Alsace puis dans la vallée de Munster.
Et à l’arrivée, les crêtes qui entourent Wasserbourg sont plongées dans la grisaille et le brouillard.
Il ne me reste qu’un espoir, c’est qu’au gré des 740m de dénivelé qui me séparent du Petit Ballon, jusqu’à atteindre l’altitude de 1272m, je finisse par émerger au-dessus de ces vapeurs, ou que ça finisse par se désagréger un peu.

Pour ce qui est des raquettes, ce sera peut-être pour plus tard puisqu’au début ça commence sur le goudron.
Je porte donc la housse des raquettes dans la main gauche, en plus de ma pochette avec les cartes. Comme je l’avais déjà expérimenté au Lac des truites le 27 janvier, je suis étonné qu’elles ne pèsent pas plus lourd. Mais c’est tant mieux.

En montant dans Wasserbourg, je ne suis pas très rassuré car j’entends pas mal de gros chiens aboyer et qu’avant de rallier la forêt du Kieferwald, je dois longer plusieurs maisons isolées successives, suivies d’un centre équestre et de l’ultime maison avec les animaux de basse-cour.
À un moment donné, je vois un truc noir se déplacer en amont sur la route, sans pouvoir identifier ce que c’est. Mais finalement, je rejoins heureusement le chemin en forêt sans faire de mauvaise rencontre.
C’est vrai qu’autour de la dernière maison, il y a plein d’oiseaux de basse-cour en tous genres (poules, canards, oies ?). Mais ils sont derrière une clôture qui borde le chemin.

La montée dans la forêt du Kieferwald est effectivement très soutenue.
Je suis content d’avoir imprimé différentes cartes (à partir des sites Géoportail, OpenTopoMap et Google Maps) car le chemin à suivre ne me paraît pas évident à certaines intersections.
Quant aux raquettes, je continue à les porter à la main car la forêt est juste saupoudrée.

Rétrospectivement, la rando n’est pas très réjouissante pour l’instant. D’abord la grisaille en arrivant. Puis les aboiements lugubres et inquiétants lors de la montée dans le village. Puis la montée soutenue en forêt, sans vue agréable.
En effet, la forêt du Kieferwald est une forêt composée quasiment à 100% de résineux.
C’est vrai qu’en hiver, une forêt de résineux bien verts est plus jolie vue de loin qu’une forêt de feuillus dépouillés. Mais en toutes saisons, je trouve le cheminement beaucoup plus agréable dans les forêts de feuillus.

Heureusement, en l’espace de quelques secondes, l’intérêt de la randonnée va prendre subitement une toute autre tournure, à la sortie de la forêt, entre le point 938 sur la carte IGN et les fermes du Hanspen.
En effet, le voile nuageux commence à se déchirer et à laisser apparaître le disque du soleil et quelques portions de bleu. Cela me réchauffe le cœur et me remplit d’espoirs nouveaux pour la suite.
Et puis quelques mètres à peine après la sortie de la forêt, j’aperçois 2 chevreuils au milieu d’une vaste étendue de neige, sur le versant opposé du vallon du Hanspenbach.
Je commence à photographier ces 2 autochtones dont la présence me réchauffe encore un peu plus le cœur.
Et puis soudainement, 4 autres chevreuils viennent gaiement se joindre à eux. Ouah ! C’est le jackpot ! J’ai le moral au plus haut !

Après moultes photos, je me remets en route sur mon versant du vallon.
À tout hasard, je me retourne régulièrement et même si certains sont repartis, je continue à en apercevoir 3 qui se nourrissent en toute quiétude. Entre ma première et ma dernière photo de chevreuils, il s’est écoulé 25 minutes, sans qu’ils ne prennent la fuite.
C’est la 1ère fois que j’ai la chance d’observer des chevreuils aussi longtemps. Et si j’étais resté, ça aurait peut-être duré des heures ?...

Bien que l’épaisseur de neige soit faible, ça suffit à recouvrir le sentier.
Heureusement, de nombreuses traces de pas sur la neige permettent de le suivre sans difficulté. Et le balisage croix rouge vient confirmer le bon cheminement de temps en temps.
De temps à autres, le décor nous gratifie de grands arbres isolés et majestueux. Je ne suis pas allé vérifier si ce sont tous des hêtres mais le plus grand et impressionnant d’entre eux est un hêtre. Le sol qui l’entoure (quasiment vierge de neige) est jonché de faînes.

À une intersection avec une piste, le sentier nous fait franchir un tourniquet. Je dois choisir entre 2 options. Ou bien poursuivre en face vers le Petit Ballon, "dré dans l’pentu". Ou bien prendre à droite vers Buchwald (ferme auberge) pour une montée plus progressive.
Je choisis la montée progressive vers Buchwald. À cet instant, je ne le sais pas encore mais je prendrai le chemin plus direct à la descente.
Juste avant de rejoindre la ferme auberge, je décide de bifurquer à gauche en épingle. Si j’interprète bien le parcours du topo, c’est là que je m’en écarte. Pourquoi ? Parce que je ne souhaite pas faire un grand détour par la ferme auberge du Kahlenwasen.

À partir de là, les arbres commencent à être magnifiquement recouverts de neige et de givre. Juste après être passé à côté des vestiges d’un téléphérique allemand de la 1ère guerre mondiale, j’arrive à une intersection (4 branches).
À cette intersection, il y a un autre hêtre majestueux, avec son magnifique branchage tentaculaire, recouvert de neige et baigné de soleil, sur fond de ciel bleu. L’appareil photo ne chôme pas !
Je ne le sais pas encore mais c’est à cette intersection que je prendrai le chemin direct jusqu’au tourniquet, lors de la descente.

Je repars de cette intersection en récupérant le balisage croix rouge pour le Petit Ballon et je le suis jusqu’au lieu-dit Col du Strohberg (1155m).
Cette portion est jalonnée de magnifiques arbres feuillus isolés aux beaux branchages blanchis.
Au Col du Strohberg, quelqu’un s’est amusé à dessiner un visage sur un panneau de sens interdit recouvert de neige.
À cette intersection, je dois encore faire en choix. Ou bien monter directement au Petit Ballon en forêt par son arête nord-est. Ou bien pousser jusqu’au Col du Petit Ballon (1163m) pour monter à découvert par son arête nord-ouest. Je choisis la seconde option.

Le chemin qui relie à plat le Col du Strohberg et le Col du Petit Ballon traverse sur la face nord du Petit Ballon une portion de forêt qui a été copieusement recouverte de neige. Le spectacle est magnifique.

Une fois, au Col du Petit Ballon, j’aperçois vaguement les pistes de ski du Schnepfenried, à travers la brume. Mais impossible de voir les sommets un peu plus éloignés comme le Rothenbachkopf ou le Hohneck. Dommage.
Là je décide de monter "dré dans l’pentu" vers le sommet du Petit Ballon par son arête nord-ouest, plutôt que de faire un détour par l’auberge de Rothenbrunnen.
À partir du Col du Petit Ballon, par endroits, il y a une épaisseur de neige qui pourrait enfin justifier de chausser les raquettes.
Mais en fin de compte, il y a toujours moyen de trouver un passage où l’épaisseur est faible. D’ailleurs, jusqu’au sommet, on voit des mottes d’herbe dépasser de la neige en de nombreux endroits. Et pourtant c’est sur l’arête nord-ouest ...
Contre toute attente, je ne chausserai donc pas du tout les raquettes. Je les aurai portées à la main pour rien toute la journée ... Tant pis.

À mon arrivée au sommet vers 15h20, celui-ci est dans le brouillard. Le soleil est invisible. Il y a juste un peu de ciel bleu en direction du Col du Petit Ballon.
Et puis alors que je m’apprêtais à redescendre après quelques photos, le ciel se déchire en quelques minutes, laissant apparaître de larges trouées bleues. Le brouillard se dissipe et le soleil perce presque.
Cette amélioration ne me permet pas d’apercevoir les sommets non immédiatement voisins (tels que le Grand Ballon). Mais pendant 20 minutes, je profite d’un beau spectacle. À défaut d’un franc soleil, j’admire le ciel bleu ! C’était un des objectifs de ma quête du jour !

À 15h45, j’entame la descente. Il reste environ 2h de soleil. Il est hors de question que je fasse une boucle par le Col de Boenlesgrab, comme je l’avais envisagé initialement et conformément au topo.
Le retour par le même chemin offre 2 avantages de taille. D’une part Il est plus court en kilomètres. D’autre part, je trouverai plus facilement mon chemin en revenant sur mes pas. C’est d’autant plus clair que j’aperçois des endroits dans le brouillard.

Je redescends plein gaz, non sans prendre quelques photos de temps en temps, avec le ciel bleu qui prédomine plus qu’à la montée.
Après le Col du Strohberg, je commence à apercevoir du brouillard dans la direction que je dois prendre. Je suis entre 2 eaux : ciel bleu derrière et vers le haut ; brouillard devant et vers le bas. Le mélange des 2 ambiances est beau !

Comme déjà dit avant, à l’intersection avec un beau hêtre, je prends le chemin direct jusqu’au tourniquet. C’est vrai que ça descend pas mal. D’ailleurs mon genou gauche commence à être douloureux, ce qui ne m’était pas arrivé depuis plusieurs années !
Après le tourniquet, je retrouve 1 puis 2 chevreuils sur le versant opposé (à peu près au même endroit que ce matin). Génial ! Bien que pressé et bien que le brouillard s’épaississe en réduisant la visibilité, je reprends quelques clichés. Ça repose un peu mon genou.

Puis vient la descente soutenue dans la forêt du Kieferwald. C’est de plus en plus dur pour mon genou. Je fais des pauses régulières mais ça n’aide guère.

À l’approche de la maison avec la basse-cour, les aboiements sont de rigueur. J’appréhende la traversée du village, d’autant que maintenant, je marche en boitant et que c’est la nuit tombante (17h45).

La maison avec la basse-cour se trouve entre les 2 branches d’un Y. En m’approchant de la maison, j’aperçois l’un des gros chiens responsables des aboiements, qui est heureusement enfermé autour de la maison. Ça me rassure pas mal.
Mais pas pour très longtemps ... Soudain, en boitillant le long de la maison, j’aperçois un gros truc noir en contrebas qui traverse la route au niveau de l’intersection du Y. Et puis plus rien ...
En m’approchant de l’intersection du Y, je surveille attentivement, la grande porte d’entrée ouverte du centre équestre. Mais rien. Je dépasse l’intersection et continue à descendre.
Et soudain, j’entends aboyer derrière moi. Je me retourne. J’aperçois un gros chien noir, sur l’autre branche du Y, en train d’aboyer et de descendre vers moi. Heureusement il descend à allure modérée, en marquant parfois de courtes pauses. Mais il ne se précipite pas vers moi.
Comme par magie, l’adrénaline me fait oublier ma patte folle et j’accélère mon allure, en me retournant de temps en temps.
Voyant qu’il continue à se diriger vers moi, je prends une voix forte et autoritaire en disant "Oui. Oui. C’est bon. Je m’en vais". Je sais bien qu’il n’a pas compris dans le détail. Mais vu que je m’éloigne, il a compris l’idée générale.
Et là je peux presque pousser un ouf de soulagement car il arrête de me poursuivre. Je ne sais plus s’il arrête aussi d’aboyer mais peu importe. A partir de là, ça ira jusqu’à la voiture. À part mon genou douloureux que je vais de nouveau sentir avec l’adrénaline qui retombe ...
Je ne sais plus dire combien de temps ça a réellement duré. 20 secondes ? 30 secondes ? 1 minute ? Mais sur le coup, j’ai eu l’impression que c’était interminable ...
En tout cas, le "bon côté" de cette horrible rencontre c’est que j’ai enfin trouvé une utilité à la housse de raquettes que j’ai porté toute la journée à la main gauche !
Tant qu’il me poursuivait, je me suis dit que s’il finissait par m’attaquer, ma housse de raquettes serait au moins aussi pratique que mon bâton pour lui asséner des coups.
Ça m’a aidé à éviter de céder à la panique car psychologiquement, j’avais l’impression d’avoir une arme permettant de le tenir à distance dans chaque main.

Retour à la voiture vers 18h. Je ne suis probablement pas prêt d’oublier ce nouveau traumatisme avec un chien agressif en liberté et sans maître.
Mais ça ne me fera pas oublier tous les beaux "faits d’hiver" (clin d’œil à Alain et Jicé ...) que j’ai eu la chance d’observer en ce jour ! Et les photos sont là pour me rappeler tout ce qu’il y a eu de positif dans cette journée.
J’aimerais retourner à ce sommet pour revoir ces arbres majestueux qui ornent ses flancs et pour voir le panorama que je n’ai pas pu voir cette fois. Mais je ne repasserai pas par cette intersection en Y à côté du centre équestre et de la maison avec la basse-cour.

Variations par rapport au topo

L’itinéraire que j’ai suivi ce jour se trouve sur un fond de carte OpenTopoMap à la fin de l’album photos.

À partir de la ferme auberge Buchwald, j’ai repris l’ascension au lieu de faire un détour par la ferme auberge du Kahlenwasen.
À partir du Col du Petit Ballon, je suis monté directement au sommet du Petit Ballon par son arête nord-ouest, plutôt que de faire un détour par l’auberge de Rothenbrunnen.
Pour le retour, je suis revenu sur mes pas (à part un petit raccourci) au lieu de faire une boucle.

La Rando en chiffres

  • Participants : 1 personne (moi seul)
  • Distance : environ 11,5km
  • Dénivelé : environ 750m cumulés
  • Pente moyenne : environ 13%
  • Altitude au départ : 530m (Parking devant la Mairie de Wasserbourg)
  • Altitude point bas : 530m (Parking devant la Mairie de Wasserbourg)
  • Altitude point haut : 1272m (Petit Ballon)
  • Durée de ce jour : 7h30 pauses comprises (de 10h30 à 18h), avec de nombreuses pauses contemplation et un genou diminué sur la fin.
  •  

. Randonnée réalisée le 8 février 2018

. Dernière modification : 4 mars 2018 (Avertissements et Droits d'auteur)

Auteur :

Réagissez !

  • Merci ViveLaMontagne pour ces jolies photos en bleu et blanc. Et en plus, souvenir de vacances en Alsace, nous avions fait le Petit Ballon, mais en été......
    Sinon, si je peux me permettre, les raquettes, pourquoi ne pas les mettre sur le sac à dos lorsqu’elles ne servent pas, c’est moins pénible que les porter à la main ?.......

    Le 5 mars 2018 à 22h25
  • Merci beaucoup Nadine ;o)

    Pour les raquettes, je n’ai trouvé aucune solution géniale pour les attacher sur le sac, et ce avec les 2 sacs à dos à ma disposition. S’il le faut, j’ai trouvé une solution de système D avec chacun des 2 sacs et j’ai déjà testé les 2 associations, sans être convaincu. Mais étonnamment, je trouve que la housse est supportable à porter à la main malgré les 2,5kg. J’étais même content de l’avoir à la main à la fin de la rando. Le principal inconvénient que j’y vois, c’est de devoir poser la housse à chaque fois que je veux prendre des photos ... et c’est très souvent ...
    @+.
    Thierry.

    Le 6 mars 2018 à 00h16
  • Belles images hivernales Vosgiennes...un massif à découvrir pour moi.
    PS : J’ai enfin ramener mon appareil photo pour une grosse révision...les taches sur les photos vont me manquer...LOL

    Le 7 mars 2018 à 11h31
  • Merci Jicé. ;o)
    J’espère pour toi que la révision de ton appareil sera efficace et pas trop chère.

    Sinon, si un jour tu organises ta venue dans le massif vosgien, n’hésite pas à me solliciter avant.
    Pour l’instant, je n’ai publié que 2 topos. Depuis, je me contente de publier des sorties que je peux raccrocher à des topos déjà créés ...
    Mais j’ai de nombreux autres circuits très sympas en stock.
    Si tu le souhaites, je pourrai t’envoyer les tracés d’autres circuits que je trouve très sympas. Ça ne me prendrait pas trop de temps et ce serait avec plaisir ! ;o)
    En attendant, je te recommande déjà vivement les 2 seuls topos vosgiens que j’ai créés. Ces 2 circuits sont très beaux en toutes saisons (sauf mauvaises conditions météo ...) et bien vallonnés.

    Le 7 mars 2018 à 15h53
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