Sortie du 29 avril 2018 par Jérémy de l’Ain Boucle Monts d’Ain (1125m) par la Roche d’au-delà et les Doigts du Diable

• Ciel se couvrant au départ vers 9 heures 30 du matin (heure du départ) puis entièrement couvert vers 10 h 30 puis de nouveau avec éclaircies en fin de marche vers 13 heures (heure d’arrivée).

• Fraîcheur au sommet avec le vent mais température douce (supérieure à 20°C)

• Terrain sec, idéal pour marcher.

Départ de Nantua vers 9 h 30 du matin, le soleil est présent mais le ciel se voile. Le temps prévu par la météo n’est pas fameux. La pluie étant prévue en cours d’après-midi j’ai décidé d’opter pour une courte marche d’un peu plus de 12 kilomètres, histoire de finir tôt et d’éviter la pluie (qui finalement n’est jamais arrivée durant l’après-midi...).

Je m’engage sur un large chemin qui monte modérément mais constamment sur plus de 4,5 kilomètres jusqu’à une clairière où un rapide aller-retour à une Vierge située au bord d’une falaise s’impose pour jouir d’une belle vue sur la cluse de Nantua ainsi que sur le Lac de Sylans.

De retour à la clairière, le sommet des Monts d’Ain est tout proche. Le sentier s’engage dans la pente et rapidement on aboutit sur le rebord de la montagne et la vue s’ouvre notamment sur la Haute-Chaîne du Jura ou encore le voisin Plateau de Retord .

Le panorama au sommet des Monts d’Ain vaut également le déplacement mais compte tenu de la végétation, oubliez toute vue du côté Ouest (côté Berthiand ou encore Montagne de l’Avocat).

À cause du temps, il ne sera pas possible de distinguer le Mont Blanc ou encore les Alpes.

Après avoir effectué une pause, j’engage la descente qui ramène sur Nantua par les Doigts du Diable en suivant une sente qui longe le bord de la falaise.

Il y a de nombreux endroits au bord du précipice où l’on peut faire des arrêts pour prendre des photos. Une section sympa à parcourir.

Plus bas, je prends la direction des Doigts du Diable. Arrivé à la hauteur d’un belvédère, j’en profite pour prendre un cliché du Lac de Nantua, le plus grand lac naturel de l’Ain (mais n’est qu’un "petit étang" comparativement à son voisin géant, le Lac Léman distant d’à peine une quarantaine de kilomètres à vol d’oiseau).

Une fois le belvédère qui jouxte les Doigts du Diable quitté, le parcours s’achève paisiblement par un sentier confortable qui ramène au point de départ.

La conclusion

Une agréable boucle d’une douzaine de kilomètres (réalisée en moins de 3 heures 30 minutes avec pause déjeuner) idéale pour ceux qui ne disposent pas beaucoup de temps.

À titre personnel, un sommet que je suis satisfait d’avoir refait presque 10 ans après une première fois.