Objectif pic de coolidge

Le 29 septembre 2018 à 17h54

Bonjour /bonsoir , donc voilà suis nouveau dans se domaine , je suis plutôt ultratraileur depuis 7 ans , ultra de l’ echapée belle 2 fois dans le massif de belledone ; ultra la montagn’ hard coté Chamonix , ect.. j’ ai fait le vieux chaillol en trek dans le parc des écris , je voudrais aller au sommet du pic de coolidge , donc je voudrais des infos sue certaine portions dites escalades , et le matos adéquate , je veux partir courant mi-juillet 2019 , merci a tous .

Réponses

  • par Le 30 septembre 2018 à 08h27

    C’est de l’alpinisme sur Glacier, c’est à la porté d’un débutant sportif qui à le pied montagnard mais il te faut déjà un équipier qui maîtrise un minimum avec le matériel habituel (casque,piolet, crampon, corde, baudrier et kit de secours crevasse c’est mieux...)

    Piqûre de rappel : un "randonneur" fin d’été c’est surement senti poussé des ailes sur le Gioberney. Seul, sans crampons ... Il a été retrouvé au fond d’une crevasse de 25m.

  • par Le 30 septembre 2018 à 09h15

    Je vais dans le sens de Mick1018. L’alpinisme (sur glacier) doit s’apprendre. Il ne faut pas prendre les risques à la légère.

    Il y a plein d’autres sommets à faire sans se mettre en danger inutilement...

  • par Le 30 septembre 2018 à 10h57

    Des crevasses au Coolidge, où ça ?
    Plus sérieusement. Le glacier de la temple n’est pas crevassé. Sous le sommet c’est un névé plus ou moins permanent selon les années.
    Ceci dit, crampons et piolet sont nécessaires.
    Les vires demandent un peu de pratique.
    Se passer de l’un et/ou de l’autre est une forme de roulette russe. Parfois c’est bon, parfois c’est pas bon.

  • par Le 30 septembre 2018 à 11h22

    Il n’était pas question des crevasses au Coolidge mais surtout des risques en général sur des courses glaciaires.

  • par Le 30 septembre 2018 à 11h27

    Bonjour , merci pour vos réponses , donc je vais partir avec piolet , crampons , et je pense que je vais prendre une corde pour une portion délicate au cas ou , je ne part pas tout seul , nous serons 2 et je prend une balise arva ;) c’ est plus sûr

  • par jalucineLe 23 octobre 2018 à 01h12

    Ton palmarès de trail ne t’aidera pas au coolidge...non mais là faut arrêter de vous prendre tous pour jornet !
    de la rando au vieux chaillol et le pic coolidge ..., tu es dans des techniques d’alpinisme qu’il faut apprendre et t’entraîner avec ton coéquipier..
    Pour info : je connais une amie qui a perdu 2 personnes sur le coolidge...et ce n’était pas leur première course !
    commence à aborder la montagne avec plus d’humilité...
    "un bon montagnard est un montagnard en vie..."

  • par Le 23 octobre 2018 à 05h14

    Bonjour et merci a tous de prendre le temps de lire mon poste et d’y répondre, je n’ ai pas la prétention de me prendre pour Kilian, c’est juste que je veux m’appeler orienter vers l’ alpinisme , concernant le palmarès de trail c’est est pour notifier ma condition physique 😉, je veux justement apprendre le plus de détails possible pour une prise de risques minimum, je ne serai pas tout seul forcément , merci a tous et faite attention a vous.

  • par SimonLe 23 octobre 2018 à 22h30

    Salut moustache74.
    J’ai fait le Coolidge début septembre 2016 en mode fast & light en baskets, short et t-shirt.
    Départ de la Bérarde à 8h, sommet à 12h (température 10 degrés) et retour à la Bérarde à 15h30 avec 1h de pause au refuge de Temple Ecrins pour déjeuner (d’ailleurs je te le recommande).
    Tout dépend des conditions et de la météo, mais comme ces dernières années, en fin de saison tu ne mettras pas un pied dans la neige, seul le casque sera indispensable.
    Les difficultés techniques se concentrent à partir du col de la temple avec un enchaînement de vires faciles, puis sous l’antecime, la remontée d’un couloir dans du mauvais rocher (risque de chutes de pierres). Je te conseille de bien lire les topos sur internet avant de partir afin de bien trouver ton chemin dans les vires.
    Enfin il y a un passage expo entre l’antecime et le sommet, mais sans difficulté technique.
    Par contre pour le mois de juillet, lis les derniers cr avant ton ascension car crampons et piolet seront certainement indispensables, notamment dès le col de la temple qui est raide sur la fin.

  • par Le 24 octobre 2018 à 18h57

    Bonjour Simon, merci beaucoup pour toutes ses informations qui vont m’ aidé dans mon projet, je fais beaucoup d’ ultra en haute montagne , mais j’ aimerais prendre plus de temps et de plaisir que procure la montagne,

  • par Le 25 octobre 2018 à 10h14

    Moustache74, Le trail, c’est "pêchu", c’est très sportif, mais souvent, on est "pris" et quelque peu "grisé" par le chrono, la performance et le classement, et on ne profite pas vraiment des paysages grandioses qui nous entourent.

    En trail, s’arêter pour faire une pause comptemplatoire, c’est perdre du temps, l’état d’esprit est très différent.

    De plus, en montagne hors mode trail, tu dois t’orienter (pas de rubalise et pas forcément de sentier balisé) utiliser tous tes sens, observer les reliefs pour te repérer, lire ta carte et utiliser ta boussole, ou éventuellement un GPS.

    On en profite pour remarquer des magnifiques fleurs de montagne, observer la végétation si variée ou les minéraux de différents types et de différentes périodes, repérer plein d’animaux, vautours, bouquetins, chamois marmottes et j’en passe...

    Pour le trail, on doit s’alléger au maximum, on n’emmène donc pas forcément un appareil photo ou un petit repas.

    Donc, l’alpinisme ou la rando-alpine, dans l’esprit, n’a pas grand chose à voir avec le trail.

    Tu profiteras beaucoup plus de la nature et de la montagne en t’adonnant à ce sport qui est en fait beaucoup plus que ça ! c’est carrément un art de vivre... après, le trail apporte autre chose et notamment le défi compétitif de se confronter aux autres, et se prouver ses capacités physiques et mentales d’une façon parfois assez extrême, mais les appuis lorsque que l’on court sont techniqhes, plus fuyants que lorsque l’on marche, donc plus risqués, et bien sûr beaucoup plus traumatisant pour le corps.

    Pour ma part, mon choix est fait depuis longtemps, mais ceci reste bien évidemment personnel.

    Néanmoins, je suis bien placé pour comprendre ton envie d’évoluer vers l’alpinisme, et donc, je ne peux que t’y encourager, même si personnellement, je n’y ai absolument rien à gagner...

  • par Le 25 octobre 2018 à 10h22

    Et pour finir, j’ai gravi le Pic Coolidge en juin dernier avec crampons piolet, casque et encordement, et je peux te dire que le parcour en vires, soit disant facile au dessus du Col de la Temple, n’est pas à négliger, car le moindre faux pas peut être rédibitoire. De plus, chacun a sa propre appréhension du vite, et certaines difficultés relatives peuvent être perçues de façon très différentes en fonction de la sensibilité de chacun. Donc, toujours rester humble face à la montagne et surtout s’adapter à elle en fonction de ses capacité sans la snober (mais ce n’est absolument pas ce que j’ai ressenti dans tes propos), même si on se sent très fort physiquement... bonnes continuation et découverte.

  • par Le 26 octobre 2018 à 20h54

    Le "glacier de la Temple"... J’y suis monté hier au Col de la Temple, il n’y reste plus grand chose du glacier.
    Par contre pour la dernière partie et atteindre le sommet oui c’est de l’alpi.

Chargement en cours Chargement en cours...
Nouvelle réponse
Nous vous conseillons de vous connecter !

Nous posons cette question pour lutter contre le spam.

Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.

NB : la possibilité de répondre en privé est reservée aux personnes authentifiées.

En postant votre message, vous acceptez la charte d'utilisation du forum.
Veuillez patienter ...