Col Collon (3080m) et Punta Kurz (3498m), au départ du barrage du Lac de Place-Moulin

Difficulté :
Difficile
Dénivelé :
1600m
Durée :
9h

Au fin fond du Valpelline (Val d'Aoste), un itinéraire en haute altitude - on frôle les 3500m - dans un splendide secteur glaciaire, plutôt long mais peu difficile "grâce" aux conditions climatiques de cet été 2022. La première partie de la randonnée nous enchante avec le panorama du sentier balcon sur le Lac de Place-Moulin, puis la remontée de la jolie "Comba d'Oren". Mais le grand spectacle commence vraiment lorsqu'on arrive au Col Collon, et la beauté des paysages qui vous entourent risque fort de ralentir votre progression vers la Punta Kurz ! – Auteur :

Accès

Depuis Aoste, suivre la direction de Valpelline, puis Oyace et Bionaz, et enfin "Diga di Place-Moulin". Plusieurs zones de parking payant sont situées au terminus de cette interminable route d’accès au lac.
En 2022, le tarif du stationnement est de 3,5 euros la journée. Attention, l’automate de paiement n’accepte que les pièces, pas les cartes bancaires. Heureusement, une autre machine est disponible juste à côté pour changer les billets en pièces. Elle est cependant un peu capricieuse (j’ai bien galéré à lui faire accepter mon unique billet de 20 euros). Le mieux est bien sûr de prévoir suffisamment de monnaie le jour J, le tarif étant susceptible d’évoluer ! Ces deux automates sont situés dans un recoin du parking couvert, 50m avant le terminus sur la gauche en arrivant ; des panneaux "Ticket" en indiquent plus ou moins l’emplacement.

Précisions sur la difficulté

Globalement, cette randonnée est longue et requiert une bonne endurance, avec une distance totale et un dénivelé respectables.

Pour le Col Collon

  • Jusqu’au col Collon, on suit le sentier n°8. Celui-ci est bien balisé, en général plutôt roulant, mais il présente quelques défauts. Ce sentier n°8 a en effet la fâcheuse tendance à nous faire gagner l’altitude par à-coups plutôt qu’avec une pente régulière.
    De plus, il y a aussi quelques endroits où il redescend un peu, ce qui fait partie des choses les plus exaspérantes et démoralisantes qui soient sur ce genre d’excursion !
    Enfin, sur certaines portions, le terrain est bien moins roulant, avec beaucoup de rochers sur le sentier, voire des blocs.
  • Il y a plusieurs secteurs avec des équipements fixes de sécurité, mais ceux-ci ne sont utiles qu’en cas de conditions glissantes (pluie, névés).
  • La cotation italienne officielle jusqu’au col Collon est "E" ("Escursionisti"). On pourrait attribuer à cette section le niveau de difficulté "Moyen" sur la cotation Altituderando.
  • Pour l’aller-retour au col uniquement, le dénivelé cumulé positif est d’un peu plus de 1200m et la distance totale d’environ 20 km. Compter 3h30 à 4h pour la montée.
  • Si l’objectif du jour n’est que le Col Collon, je vous recommande chaudement de vous élever un peu au-dessus du col, en direction de "La Vierge", afin d’avoir une meilleure vue sur le glacier qui descend des Pointes d’Oren devant L’Évêque. Et si vous n’avez pas peur de pousser encore un peu plus, je vous recommande également de suivre le début de l’itinéraire de montée à la Punta Kurz sur une petite centaine de mètres de dénivelé, afin d’atteindre la ligne de crête située à l’Est de La Vierge (point coté 3174m sur L’Escursionista). Cela vous donnera accès à un remarquable panorama glaciaire (Glacier d’Arolla, Tête de Valpelline, Dent d’Hérens).

Pour la Punta Kurz

  • Au delà du col, plus de balisage jaune ni de véritable sentier, mais la navigation hors sentier reste facile car on y trouve beaucoup de cairns et de nombreux morceaux de sentes plus ou moins nettes et continues.
  • Les pentes rencontrées au-dessus du col ne sont jamais très raides, il n’y a aucun pas d’escalade, et ce n’est pas exposé en l’absence de neige.
  • Le "Glacier du Col Collon" qui recouvrait autrefois les pentes de la face Ouest de la Punta Kurz est aujourd’hui réduit à une simple plaque de glace d’un ou deux hectares autour de 3350-3400m d’altitude. Sa partie centrale est recouverte d’une couche de graviers, ce qui m’a permis de passer sans même avoir à sortir les crampons.
  • Le seul secteur qui pourrait vraiment poser problème selon les conditions de neige est la ligne de crête entre l’antécime et le sommet de la Punta Kurz : on évolue sur une étroite bande rocheuse entre une énorme congère d’un côté et des pentes très escarpées de l’autre.
  • Remarque extrêmement importante : les conditions d’enneigement de l’été 2022 étaient quasi-nulles, facilitant énormément cet itinéraire (crampons inutiles). Même si les conditions climatiques de cet été 2022 sont amenées à être de plus en plus fréquentes à l’avenir, l’enneigement de ce sommet situé au cœur d’un vaste secteur glaciaire est probablement très variable d’un été à l’autre.
  • Prévoir au minimum les crampons, et s’il reste beaucoup de neige sur la crête sommitale, cet itinéraire peut potentiellement sortir du cadre de la simple randonnée. En visionnant les photos de différentes sources sur Internet, on peut constater que les conditions que j’ai rencontrées ce 12 Août 2022 étaient vraiment exceptionnelles, en particulier concernant l’arête finale, où habituellement la trajectoire la moins difficile, assez exposée, passe SUR la congère, avec crampons voire encordement.
  • Pour espérer avoir les conditions les plus faciles possibles, il vaut mieux tenter cette randonnée assez tard dans la saison (a priori pas en Juillet par exemple).

Les infos essentielles

  • Carte : L’Escursionista N°6 - Valpelline, Saint-Barthélemy
  • Altitude minimale : environ 1990 m
  • Altitude maximale : 3498 m
  • Dénivelé cumulé : environ 1600 m
  • Distance : environ 23 km (A/R)
  • Horaires : Montée 4h30 à 5h, dont 1h entre le col et le sommet. Descente presque 4h, car beaucoup de parties très peu pentues où il est difficile de gagner du temps par rapport à la montée.
  • Balisage : Sentier n°8 jusqu’au Col Collon, puis hors sentier à navigation facile (nombreux cairns)
  • Matériel : Au strict minimum, emporter une paire de crampons au cas où. Voir le paragraphe "Précisions sur la difficulté" pour plus d’explications
Sensibilisation

Le milieu que vous traversez durant cette randonnée est fragile. Faites attention à la flore et ne dérangez pas la faune locale. Rapportez vos déchets et ramassez ceux que vous trouverez. Vous soutiendrez ainsi le mouvement KeepTheMountainsClean, une initiative Altituderando !

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Itinéraire

Préambule « Cartographie »

  • Important : le tracé GPX du topo n’est pas issu d’un relevé de géolocalisation effectué sur place, mais a été dessiné à la main après la rando. J’ai pour cela utilisé la trajectoire représentée sur les fonds de carte OpenTopoMap : si elle semble correspondre plutôt bien à la réalité jusqu’au col Collon, elle n’est qu’indicative au-delà.
  • Pour éviter les confusions, et même si j’ai une confiance modérée dans ces cartes, toutes les altitudes que j’indique sont celles cotées par L’Escursionista.
  • A noter qu’une grande partie de l’itinéraire est située sur une zone couverte en bonne résolution par SwissTopo en ligne sur https://map.geo.admin.ch. En revanche, l’étendue des glaciers y date un peu.
  • Les altitudes du col et du sommet varient selon les sources.
    • Punta Kurz (IT) ou Pointe Marcel Kurz (FR) : L’Escursionista (3498), SwissTopo (3499), OpenTopoMap (3496)
    • Colle Collon (IT) ou Col Collon (FR) : L’Escursionista (3080), SwissTopo (3068 ou 3069 selon le niveau de zoom), OpenTopoMap (3074)

Vers le Rifugio Nacamuli

La première partie de l’itinéraire est un sentier balcon qui remonte le Lac de Place-Moulin sur toute sa longueur. Cette partie est un peu décourageante à l’aller, car au bout d’une heure de marche, on n’est monté que d’à peine 150m : l’itinéraire monte peu, est souvent horizontal, et redescend même par endroits ! Cette partie est également assez interminable au retour quand la fatigue et la lassitude se font sentir, mais on peut profiter du paysage et principalement de la vue sur le lac dont la couleur est magnifique.

Du parking, emprunter la large piste qui longe la rive droite du Lac. A peine 500m plus loin, le sentier n°8 part sur la gauche et s’élève progressivement parmi les mélèzes. Un gros kilomètre plus loin, il rejoint une autre piste parallèle à la première, un peu plus haute. Tout de suite après cette jonction, la piste se scinde en deux : il faut rester sur celle de droite, qui mène à des installations agricoles ("Arpeyssaou", 2117m). La piste continue à plat et se transforme rapidement en sentier.

Après avoir passé un point haut avec un joli belvédère sur le lac, le sentier se met descendre perdant ainsi une petite cinquantaine de mètres, jusqu’à "Bas Oren" (2120m). Là, le sentier n°8 bifurque à gauche et monte un peu jusqu’à "Grand Oren" (2165m). On entre alors dans la magnifique "Comba d’Oren". Le sentier n°8 poursuit sa route en remontant paisiblement le vallon, d’abord rive droite du torrent d’Oren, puis rapidement rive gauche, alternant alpages et portions un peu plus caillouteuses.

Le bout du vallon est barré par une énorme moraine herbeuse descendant du flanc gauche. A son approche, le torrent et le sentier s’élèvent, ce dernier effectuant plusieurs lacets toujours en rive gauche. Le sentier franchit plusieurs cônes d’éboulis (avec notamment une courte traversée de gros blocs) et le passage se resserre : la moraine vient presque verrouiller l’accès, ne laissant la place qu’au lit du torrent. A l’endroit le plus étroit, le sentier passe quasiment dans ce lit, à tel point que lors du trajet retour, avec l’augmentation du débit en journée, le sentier était sous l’eau.
Remarque : d’après la carte, on passe à ce moment à proximité du petit Lac d’Oren, perché sur la moraine, mais celui-ci n’est jamais visible depuis l’itinéraire.
Passé ce verrou, le sentier pénètre dans le "Plan de Gan" (environ 2460m), traverse une autre zone de gros blocs, puis un pierrier inconfortable pour atteindre la base (point 2510m) d’un gros ressaut d’environ 200m de dénivelé.

Le sentier franchit ce ressaut par une multitude de lacets courts, avec de nombreux équipements de sécurité en place (marches en métal, cordes fixes, garde-corps). Ceux-ci sont superflus en conditions sèches : il n’y a pas de difficulté technique ni d’exposition, le parcours n’est à aucun moment vertigineux. Ils facilitent néanmoins un peu l’ascension. Sur tout ce ressaut, le terrain n’est pas très bon (rochers, grandes marches), et la pente est assez forte, ce qu’on ressent d’autant plus que le sentier n’a jamais beaucoup grimpé jusque là.

Autour du Col Collon (3080m)

Heureusement pour le moral, dès que la pente s’assagit, le refuge Nacamuli (2828m) apparaît et semble alors tout proche : il faudra quand même encore une bonne vingtaine de minutes pour l’atteindre ! On traverse peu après le torrent d’Oren sur une passerelle (vers 2700m). Puis, encore un peu plus loin, on arrive à une zone assez plate, entre le torrent et un tout petit lac non nommé, d’où l’on voit le sentier s’attaquer à un nouveau ressaut.
A ce point, deux possibilités s’offrent alors à nous :

  1. On peut suivre la direction indiquée par le balisage en prenant le sentier qui serpente sur le ressaut.
    Ce chemin nous fait passer à proximité du refuge, mais pas tout à fait : il y a une bifurcation juste avant le refuge. Sur la gauche, le vrai itinéraire du sentier n°8 passe au refuge puis repart en direction du col. Sur la droite une inscription jaune "Col" sur un rocher nous indique un raccourci évitant de monter jusqu’au refuge, via une sente peu marquée dans le pierrier.
    Les deux options se rejoignent un peu plus loin, et ensuite le sentier redescend en pente douce à travers un flanc pierreux jusqu’à traverser un duo de torrents, point de jonction avec l’alternative :
  2. Si les conditions le permettent (pas trop de névés dans la combe, pas trop de débit dans les lits des torrents), il est plus efficace à cet embranchement de rester au fond du vallon, de partir sur la droite pour longer et remonter la rive droite des multiples torrents qui tapissent la plaine alluviale. On peut même patauger un peu dans les lits pour simplifier le cheminement si le débit et la profondeur sont faibles.
    Bien entendu, cette variante n’est pas balisée, et je n’y ai vu ni cairns ni sentes. Mais le cheminement est simple : suivre au mieux la rive droite des torrents. On quitte plus loin l’étendue plane et on remonte tranquillement en suivant les ruisseaux jusqu’au point de jonction où on retrouve l’itinéraire balisé.

Commence alors la montée finale au col Collon. Au loin, on voit une muraille de dalles qui semblent impossibles à franchir pour l’atteindre. Les pentes se raidissent et le sentier s’élève d’abord au milieu de la caillasse, mais le terrain reste bon car la trace au sol est bien marquée et tassée.
Puis le sentier vient butter sur les barres de dalles obliques qui obstruent l’accès au col. Mais le tracé négocie parfaitement les obstacles sans rencontrer de difficultés, même si le terrain est forcément moins bon. Il y a encore quelques portions équipées de cordes utiles en cas de conditions glissantes.
Peu de temps avant d’atteindre la combe supérieure du col, on tombe sur un balisage particulièrement déconcertant : sur un gros rocher, deux flèches jaunes indiquent deux directions opposées. Il s’agit en fait du point de bifurcation entre l’accès normal au col (à gauche), et la trajectoire directe pour la Punta Kurz (à droite).

  1. A gauche, direction le col Collon, le sentier s’oriente complètement vers l’Ouest, fait une traversée plus ou moins à niveau, puis repart vers le Nord pour arriver au bord du superbe lac du col Collon qu’on longe par la gauche juste avant d’atteindre enfin le col.
    Du col, remonter un peu en direction de La Vierge pour atteindre d’abord une croix étrange, puis les panneaux de balisage suisses. Monter encore un petit peu, puis dévier vers la droite, en direction du vague col sur la ligne de crête visible à droite de La Vierge. On peut observer sous ce "col" une sente qui permet de l’atteindre à travers un raide pierrier : l’objectif est donc d’atteindre cette sente au mieux. Heureusement, cet itinéraire est signalé avec quelques cairns, pas toujours évidents à repérer, et quelques traces fugaces au sol. Cela se fait mieux qu’on ne peut le craindre, même si le dernier raidillon est bien sévère.
    En chemin, on repère également une autre sente, assez nette, qui remonte du fond de la combe plus à droite de notre position. J’imagine que celle-ci pourrait être une alternative utile en fonction des emplacements des névés.
    Après le raidillon, on arrive sur un terrain beaucoup plus confortable et peu pentu, qui permet de rejoindre sans trop d’effort la ligne de crête Vierge-Kurz (vers 3170m). On rejoint ici la variante de montée directe.
  2. A droite, trajectoire directe pour la Punta Kurz. Elle fait probablement gagner un peu de temps, mais je ne la recommande pas spécialement, surtout à l’aller, car le terrain est plutôt mauvais et l’itinéraire n’est pas partout bien indiqué (pas assez de cairns, peu de traces au sol).
    Depuis la bifurcation, on poursuit la montée sur une bonne sente, mais celle-ci se perd car on arrive assez vite à un vaste pierrier avec des rochers assez gros, dans lequel la progression est plus usante et la navigation moins évidente (pas de sente, cairns difficiles à repérer).
    Après ce pierrier, on atteint une large rampe peu pentue sur un terrain plus agréable, avec une ligne de cairns bien visibles, qui remonte en diagonale en direction de la crête Vierge-Kurz, où l’on rejoint l’itinéraire passé par le col.

Montée à la Punta Kurz

A partir de cette crête, il faut remonter la face Ouest jusqu’à l’antécime de la Punta Kurz. Pour cela, de nombreux cairns et plusieurs sentes, parfois entremêlées, sont fort utiles sans quoi les pentes seraient bien raides. L’itinéraire reste plutôt sur la gauche de la face, moins escarpée. La pente est régulière, il n’y a pas de gros ressauts, ni de barres rocheuses à franchir.
Jusqu’à l’antécime, les seules difficultés sont l’altitude qui commence à être élevée, et la présence potentielle de névés, même en plein été, qui pourraient rendre l’ascension de ces pentes périlleuse sans crampons.
Arrivé vers 3350 m d’altitude, on atteint le reste de la calotte glaciaire (nommée "Glacier du Col Collon" sur L’Escursionista) qui devait envelopper autrefois tout ce flanc de la Punta Kurz. Ce glacier est à présent très réduit et presque scindé en deux, car sa partie centrale est en train d’être ensevelie par les graviers qui dégringolent de l’antécime, ce qui rend sa traversée anecdotique. Une fois le glacier franchi, il y a encore une cinquantaine de mètres à grimper dans un éboulis assez fin pour atteindre l’antécime.

De l’antécime, il ne reste que quelques dizaines de mètres de dénivelé, mais surtout une arête à parcourir, où l’on progresse sur un étroit corridor caillouteux, avec à gauche une imposante congère de neige et glace, et à droite des pentes plongeantes plutôt vertigineuses.
Selon les conditions, cette arête peut être plus ou moins facile à arpenter. S’il n’y a plus de neige, il n’y a pas de difficulté particulière. S’il reste des névés à des endroits critiques, cela peut devenir bien plus corsé, voire dangereux : en particulier, si la congère est encore trop volumineuse, il ne sera pas forcément possible d’emprunter cette bande rocheuse et il faudra alors rester sur la crête de la congère, ce qui change complètement le niveau d’exposition.
Au bout de l’arête, un dernier raidard à surmonter et on atteint enfin la cime de la Punta Kurz (3498m), avec ses deux gros cairns sommitaux.

Le panorama là-haut est époustouflant, même s’il n’a pas attendu le sommet pour nous en mettre plein les yeux. Des pics élancés, des glaciers partout, avec principalement :

... ainsi qu’une multitude d’autres hauts sommets de la zone frontalière Italie-Suisse.

. Randonnée réalisée le 12 août 2022

. Dernière modification : 16 novembre 2022 (Avertissements et Droits d'auteur)

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Afficher les commentaires précédents (3).
  • Bonjour et merci pour cette rando très haute montagne !
    Je suis allé dans le secteur il y a quelques années mais pour de petites randos avec les enfants. Ca donne vraiment envie d’y retourner pour de plus grosses rando !
    Laurent

    Le 28 août 2022 à 15h47
  • Magnifique ! Mais tellement triste à la fois.

    Effectivement le Mont Brûlé risque de bientôt devenir "randonnable" et ça risque de ne pas être le seul.

    Dommage.

    Le 29 août 2022 à 11h41
  • Merci @Caillou !
    Itinéraire fait 10 jours après toi (https://fr.wikiloc.com/itineraires-randonnee/punta-kurz-3498m-112615635) je partage le triste constat "été 2022"...

    Le 3 septembre 2022 à 19h42
  • Très belle sortie qui se mérite et très peu de monde ! Merci pour ce partage !
    Cet été 2023, la corniche n’était pas aussi dégagée . On peut passer en dessous en se faufilant mais la fin est quasi impracticable (exposée, la corniche venant lécher la pente).
    On peut passer sur la corniche avec de l’équipement sachant que la glace est proche.

    Le 19 août 2023 à 18h42
  • A noter également un énorme glissement de terrain dans la vallée de Valpelline ce 15 aout. Les blocs ayant dévalé la pente sont impressionants.
    https://fr.italy24.press/local/824343.html
    https://fr.italy24.press/local/825986.html

    Le 19 août 2023 à 18h46
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