Les Pinastéous (2484m) en boucle par Chaude Oreille et la crête des Baumes

Du Lauzet-Ubaye prendre la D900 en direction de Barcelonnette.
Peu après Méolans, en face du camping Rioclair, prendre à gauche la D27 que l’on suit jusqu’à Rioclair.
Continuer à la sortie du village, et prendre la route de Roméyère, qui se transforme en piste, jusqu’au hameau de Fortunel. Il y a la place pour une ou deux petites voitures dans l’épingle juste au-dessus des maisons.

Montée dans des pentes raides herbo-pierreuses et terreuses, traversée de pentes terreuses et de petits pierriers.

Du parking prendre la piste de Chaude Oreille qui monte en rive droite du ravin de Fortunel puis le traverse pour effectuer un long crochet vers l’est avant de revenir vers l’ouest après le point 1995 (où l’on reviendra à la descente).

Passer la jolie cabane et continuer à monter. Quand la piste devient plate, après avoir traversé un petit ravin, commencer à monter en diagonale dans les pentes au-dessus. On alterne les zones herbeuses avec de petits pierriers et la traversée de petites ravines. La pente est peu prononcée pour l’instant. Viser la direction du grand pierrier sous le sommet de l’Auta.

On finit par rejoindre le lit d’un torrent asséché, à l’altitude d’environ 2350m, à l’aplomb du point 2106. Le remonter sur quelques mètres et traverser pour gagner les pentes herbeuses et rocheuses raides de la rive droite où l’on peut suivre un instant une vire à chamois. On se retrouve alors sur une crête assez raide, dans le même type de terrain, puis se minéralisant progressivement, que l’on va remonter jusqu’en haut, jusqu’à buter sur les tours rocheuses défendant la crête entre l’Auta et le Pic Silhourais, non loin du col 2775.

Un petit collet verdoyant sera notre point haut. De là en allant voir de l’autre côté de la crête, on aperçoit la belle crête de descente, et un énorme cairn invitant à s’y diriger.

Il n’y a plus qu’à suivre cette crête sud-est évidente et néanmoins cairnée jusqu’à son bout, puis s’orienter sud-ouest sur une autre crête la prolongeant pour rejoindre une belle prairie que l’on n’aura plus qu’à traverser pour rejoindre le point 1995.