Sortie du 18 janvier 2020 Mont Morbié (1542m) et Mont Pelat (1543m), par le Col du Frêne

Quelques petits centimètres de neige fraîche au Col du Frêne, en quantité plus abondante aux abords du sommet, permettant l’utilisation des raquettes (et des skis !). Brume envahissante nous forçant à terminer rapidement notre dégustation de breuvages locaux !

Participants
Jean-Marc, Guillaume, Vincent, Julien et Jean-Claude

Guillaume

Il aurait été dommage de reporter à plus tard cette nouvelle rencontre ! Malgré une météo incertaine jusque tard dans la semaine, nous sommes finalement cinq à nous élancer en direction du Mont Morbié, sympathique bastion d’altitude modeste mais suffisante pour aujourd’hui.

La neige est fraîche, l’ambiance est bonne, et nous ne voyons pas le temps passer en si bonne compagnie ! Alors que le cheminement se fait plus agréable et que la couche de neige devient plus épaisse, nous profitons des rayons d’un soleil modeste mais bien présent. Ce n’est qu’au sommet, alors que nous savourons quelques bières hydratantes, que la brume viendra nous jouer des tours. Pour nous réchauffer, quelques pas dans une bonne couche de poudreuse, avant un retour tranquille au Col du Frêne.

Vivement la prochaine édition !

Jean-Claude

Après la Jasse, le Crêt du Poulet et Chapotet dans le massif de Belledonne, nous nous dirigeons dans le massif des Bauges vers le Mont Morbié pour cette quatrième édition des randos admins Altitude Rando.

Départ à cinq du col du Frêne raquettes sur le sac, sauf pour Vincent qui est un peu « allergique » aux raquettes. C’est avec des skis nordiques à écailles qu’il tentera l’ascension du Mont Morbié, mais pas n’importe quels skis, un modèle introuvable dans le commerce depuis les années 80 !.
Au final il a bien assuré, aussi bien à la montée qu’a la descente, sauf qu’il aura un peu saccagé notre belle trace ! (ou l’inverse peut-être...)

Cette rando se déroule dans une très bonne ambiance et un très beau décor avec une neige toute fraîche de la veille.

Après une montée sous le soleil, en passant par la Cornue, puis la crête et l’arête sud,
la pause casse-croûte se fera au sommet, mais sans panorama, dans le froid et le brouillard. Pas de quoi entamer le moral du randonneur... avec un petit remontant !

Descente en boucle par la piste vers les Ordons (avec quelques petits raccourcis !) et retour à la Cornue au terme d’une petite montée.

Après avoir pris un petit pot amical à Saint-Pierre-d’Albigny, nous nous séparons ravis d’avoir pu partager cette journée ensemble… à la prochaine au printemps !

Jean-Marc

Encore un bon moment de convivialité entre ‘admins’. Même si la quantité n’y était pas (cinq seulement), la qualité était bien là (Aïe… les chevilles !!!).

Plus sérieusement, à refaire au printemps avec un effectif plus important incluant quelques représentantes de la gent féminine (ça manquait de gâteaux maison !).

Et merci : à Guillaume pour l’organisation, à Julien pour ses viennoiseries toujours bienvenues, à Vincent pour la démonstration de ses talents de descendeur à skis nordiques, à Jean-Claude pour nous avoir convaincus que la ligne droite est vraiment le plus court chemin !!!

Vincent

Après quelques tergiversations par rapport au temps, Guillaume maintient cette journée pour notre plus grand bonheur. On covoiture avec Julien armé de ses 18 croissants en espérant satisfaire l’appétit matinal de nos compères du jour (on s’apercevra par la suite qu’ils sont un brin plus sensibles aux breuvages alcoolisés).

Arrivés sur le parking de Saint-Pierre d’Albigny, nous tombons sur Jicé, le sourire en banane, le corps sculpté par ses 4 sorties hebdomadaires et le teint hâlé nous rappelant nos pauvres statuts de travailleurs de semaine. Jean-Marc et Guillaume, les grenoblois, arrivent quelques secondes plus tard dans un crissement de pneus, couvert par les solos de guitare de Scorpions sortant des enceintes de la DACIA.

Bonnes retrouvailles avec Jean-Marc et on fait rapidement connaissance avec Guillaume (je n’avais pas pu me joindre aux 2 premières sorties). On part pour le Col du Frêne, Julien ayant pris soin d’ingurgiter quelques pastilles de gingembre, ginseng, et pamplemousse rose (qui, parait-il, vous sauvent du mal de voiture).

Arrivés au col, on constate une absence de neige qui me fait dire que j’aurais mieux fait d’opter pour une paire de Tong Havaianas à la place de mes skis nordiques, hérités de mes aïeux, de 1,95m de long et qui devaient être à la mode dans le milieu des années 50. Mais Jicé insiste lourdement pour que j’opte pour ce moyen de locomotion. Julien, qui a déjà emprunté une paire de raquettes de Jicé, brise en 2 un bâton, lui aussi emprunté : on pense à ce moment-là qu’il a plus envie de rester au parking que de faire 600m de dénivelé avec des palmes aux pieds.

Et c’est parti pour une montée harassante, où l’on fait connaissance avec Guillaume et sa bonne humeur (on parle un bon moment édition... ah ouaih ??). Jicé et Jean-Marc sont particulièrement sensibles aux traces qu’ils laissent dans la neige. Je m’empresse donc de passer par dessus, brisant définitivement l’œuvre artistique... vengeance du skieur en déroute.

Arrivés en haut, à peine le temps de poser les sacs, Jean-Marc et Guillaume dégainent leurs bouteilles de bière et Jicé son Génépi. On sent la cohésion du groupe. Il fait un tantinet frisquet mais le soleil nous réchauffe de temps en temps nous rappelant que nous sommes mieux ici que sur les bords du périph parisien. Après partage des victuailles, on décide de descendre dans une neige légère et immaculée avec un azimut sanglier donné par Jicé (bref, tout droit).

Une belle rando qui se termine, comme d’habitude, dans un bar à échanger sur cette belle journée, en pensant aux absents, qui, je l’espère, se joindront à nous la prochaine fois !

Encore un sacré moment partagé avec les admins !

Julien

La météo est formelle : matinée ensoleillée, pas de pluie sur la journée. C’est donc confiant que nous roulons dans le brouillard jusqu’au parking de départ. Les équipements de chacun, bien accrochés sur les sacs ne seront pas nécessaires pour débuter cette rando.

Nous nous élevons un moment, admirons la mer de nuage dans la vallée, le manteau blanc du Trélod et de l’Arcalod. Le paysage se fait ensuite plus hivernal, nous permettant de chausser raquettes ou skis. Nous gagnons un peu plus tard le sommet en laissant une belle trace zigzaguant entre les arbres enneigés.

Le sommet est dégagé. À bien y regarder, nous sommes pourtant cernés par les nuages ! Calage d’appareils photo pour la photo officielle du groupe, apéro, casse-croute. Quelques chocards intéressés nous rejoindrons. Une petite bise se fait sentir. Les chocards gonflent leurs plumes. Il est temps de s’activer. Nous entamons le retour. Vincent et ses skis semblent enfin avoir l’avantage !

Une rando très sympathique entre admin. Un petit verre à Saint-Pierre d’Albigny pour conclure cette journée conviviale. Merci à tous pour votre bonne humeur et ce moment partagé.

Petit diaporama de la sortie