Sortie du 18 janvier 2021 par jump38 L’Armélaz (1840m) en boucle par Bonvillard – à raquettes

Beau temps froid avec des températures finalement de saison mais dont on a un peu perdu l’habitude. Neige en quantité et poudreuse à souhait.

Nous devions rejoindre Bonvillard, mais deux pneus neige étaient insuffisants ce jour pour grimper de Montaimont à Bonvillard. Stoppés à un kilomètre de Bonvillard, nous voilà obligés de faire demi-tour pour aller se garer à Montaimont.

Cela nous vaudra de découvrir le parcours reliant Montaimont et Bonvillard ; parcours finalement agréable malgré deux passages en bord de route qui ne nécessitent pas de poser les raquettes.

L’heure a tourné et il est maintenant inenvisageable, compte tenu de la contrainte de couvre-feu à 18H, de penser faire un aller-retour à l’Armelaz.

Qu’à cela ne tienne ; on se contentera d’un aller-retour au Col du Chaussy. Nous connaissons, Claudine et moi, ce parcours raquettes, balisé par l’Espace Nordique du Grand Coin, et le faisons découvrir à nos amis. Le paysage est bien sûr de toute beauté avec la moindre brindille de végétation ayant gardé la neige qui la recouvre depuis les récentes chutes. De plus il a neigé la nuit précédente, d’où l’état de la route, et la trace, qui semble avoir été faite par deux personnes, est à ‘consolider’. La neige est idéalement poudreuse ; ce sont vraiment des conditions optimales pour pratiquer la raquette.

Comme aux récentes balades, on s’extasie devant la magie du givre. Dame Nature, munie de myriades de paillettes, est en habit de fête.

À l’approche du Col du Chaussy, on se rapproche des deux personnes qui nous ont précédés et, une fois parvenus au col, nous les remercions… ce qu’elles apprécient.

Au retour, nous prenons notre trace en sens inverse mais avec une petite variante qui nous ramène aux Rieux, puis au Mas et sa maison à jambes, avant de rejoindre la route du col

Entre Bonvillard et Montaimont, les passages en bord de route sont maintenant limite, mais ça passe encore sans enlever les raquettes que nous quitterons finalement à quelques dizaines de mètres des voitures.

Bon ; et bien l’Armelaz ce sera pour une autre fois !