Pic de Pinède (2870m)

D821 jusqu’à Pierrefitte-Nestalas, puis D921 jusqu’à Gavarnie, et D922 jusqu’au barrage des Gloriettes. Se garer sur le parking.

Pente très raide dans la brèche de Tuquerouye.
En conditions hivernales, crampons obligatoires, donc savoir pratiquer cette technique.

Direction les Hautes-Pyrénées, et prendre la route de Gèdre. Poursuivre en suivant le panneau lac des Gloriettes, et se garer au parking du barrage.

S’orienter Nord, en empruntant la passerelle et contourner le lac par sa droite.

Suivre le balisage " Espuguettes et Port de Pinède". Marquage au sol d’un trait jaune, et de nombreux cairns jalonnent le sentier.

On reste toujours à droite de la rivière. Toujours une orientation Sud-ouest avec la brèche de Tuquerouye en visuel.

On peut couper les lacets pour raccourcir la distance, en s’orientant face à la brèche.

Sud-est, en direction de Port de Pinède, on retrouve le sentier balisé, puis on repique vers l’Ouest, à travers un pierrier qui amène au pied de la brèche de Tuquerouye.

Crampons et piolet ont été nécessaires, car la neige était très dure, et la pente très raide.

En cette saison, interdiction d’oublier ce matériel, sinon bien trop risqué.

On débouche sur le fameux refuge de Tuquerouye, le plus haut des refuges pyrénéens.

Vue splendide sur le lac Glacé du Marboré et du massif du Mont Perdu.

On se déleste d’un maximum d’affaires puisque nous resterons dormir au refuge.

Depuis le lac des Gloriettes, comptez 4h30 à 5h pour atteindre le refuge quand la brèche est enneigée et verglacée, pour 1000m de dénivelé.

Pour ceux qui veulent aller gravir le pic de Pinède, il faut descendre jusqu’au lac Glacé, et s’orienter plein Est, en laissant le lac sur la droite.

Arrivé vers la fin du lac, on prend sur la gauche Nord, Nord-est en escaladant des blocs rocheux.

La sente est bien cairnée, et même si certains passages nécessitent l’utilisation des mains, cela ne présente aucune difficulté majeure.

Splendide panorama au sommet de ce pic très peu fréquenté.

Comptez 1h15 depuis le refuge.

On revient plus ou moins par le même itinéraire pour retrouver le refuge de Tuquerouye.