Petit Pinier (3100m) et le Tuba (3008m) en boucle par les crêtes, le Col du Fond de la Cabane (2928m) et le Col des Terres Blanches (2721m)

Difficulté :
Difficile
Dénivelé :
1850m
Durée :
8h30

Au sud-est du Parc national des Écrins, en bout du vallon de Freissinières, du Pont des Oules (1432m) ou depuis le hameau de Dormillouse (1700m), belle et longue randonnée à la journée en partie hors sentier et en crête. Itinéraire peu fréquenté empruntant deux cols et comprenant l’ascension de deux 3000m, dont le Petit Pinier (3100m), sommet quelque peu aérien où fort peu de gens s’aventurent. Un parcours en boucle assez physique, offrant un large visuel sur les cimes et alpages de Dormillouse et le haut Champsaur. Itinéraire sportif. Solitude garantie. – Auteur :

Accès

De Gap (Hautes-Alpes), prendre direction de Embrun – Savines-le-Lac – Briançon par la N94. À Saint-Crépin, prendre direction Champcella – Freissinières par la D38 (grand rond-point sur la N94 permettant de bifurquer facilement). Cette petite route passe, à travers champs, en bout de piste de l’aérodrome de Mont-Dauphin-Saint-Crépin, puis s’élève très rapidement. À Freissinières - Les Ribes, continuer à gauche dans la haute vallée par la D238 en direction de Dormillouse. Traverser successivement les hameaux des Viollins puis des Mensals, continuer jusqu’au bout de l’étroite route de montagne bitumée, laquelle devient une piste carrossable qui conduit en quelques centaines de mètres au parking, près du Pont des Oules.

Du Pont des Oules, un large sentier mène en 30 minutes au hameau de Dormillouse, le gîte de l’École étant le point de départ de la randonnée ici décrite.

Précisions sur la difficulté

  • Itinéraire en partie sur sentier balisé puis hors sentier et en crête dont le tracé évident se dévoile au fur et à mesure de la progression. Par temps clair s’y perdre est impensable, tant les points remarquables pour s’orienter ne manquent pas, a fortiori sur un itinéraire pour l’essentiel en crêtes.
  • Première section de l’itinéraire appelant à la vigilance : l’arête sous-sommitale du Petit Pinier. Assez raide, celle-ci exige un petit pas facile de désescalade (du II tout au plus) à l’aller (d’escalade au retour) au niveau du point coté 3030 (marqué sur la carte IGN). Il s’agit là d’un léger ressaut rocheux incontournable dont le descriptif précis se trouve sur mon topo en ligne sur Altituderando : Petit Pinier par le versant nord.
  • REPRISE DU DESCRIPTIF : le petit pas de désescalade (du II tout au plus) se trouve sur l’arête rocheuse sommitale (au point coté 3030 sur la carte IGN), rognon rocheux entre une sorte de col (situé entre les points cotés 3039 et 3030 sur la carte IGN) et peu avant que l’arête ne se redresse vers le sommet. Évidemment, comme l’on emprunte le même trajet d’arête au retour, il faudra l’escalader ensuite. Ce très court passage facile (de mon point de vue) pourra néanmoins impressionner certains et, par précaution, l’emport d’un bout de corde (en section 8mm) au fond du sac peut éventuellement s’avérer utile.
  • Autre courte section de l’itinéraire appelant à la vigilance : la descente du col sous le Petit Pinier (sur l’arête sous-sommitale entre les points cotés 3030 et 3039 sur IGN) en versant sud dans le Vallon du Fond de la Cabane. Il s’agit-là de désescalade facile sur une dizaine de mètres de hauteur à vue d’œil mais dans un rocher particulièrement délité (prudence), puis, une fois atteint l’éboulis, de le descendre (assez pentu au début), ce afin de rejoindre au sud-ouest en traversée (assez pénible) le Col du Fond de la Cabane pour embrayer sur le Tuba (3008m). En somme du terrain à chamois, mais rien de sorcier.
  • Évidemment, l’itinéraire est à déconseiller fortement en cas de brouillard et/ou de pluie et/ou de prévisions météo instables car, d’une part, s’y égarer n’est pas à exclure et, d’autre part, à certains passages plus ou moins exposés à des pentes raides et rendus glissants par l’humidité une chute y serait fatale. En cas d’orage, la longue partie de l’itinéraire en crête forcément exposée à la foudre est sans possibilité de repli rapide selon on l’on se trouve.
  • Seules possibilités d’échappatoires rapides en cas de mauvais temps soudain :
    1) Sur la crête nord-est du Petit Pinier, au niveau du col, en dessous du point coté 2718 (marqué sur la carte IGN), par une pente d’éboulis orientée plein nord donnant directement sur le Lac Faravel ;
    2) Au Col des Terres Blanches (2721m), par le sentier bien tracé versant sud, en 5km environ pour atteindre la Cabane d’alpage de la Barre (2203m).
  • En résumé :
    1) Avoir un minimum de condition physique.
    2) Avoir une bonne lecture de la topographie.
    3) Bien que facile, l’ascension du Petit Pinier dans sa section finale - sur l’arrête sous-sommitale qui d’ailleurs tient plus de la crête - est quand même à déconseiller aux personnes sujettes au vertige. J’étais d’autant plus prudent dans mon ascension avec ses parties (sur le faîte de la crête) parfois enneigées et verglacées.
    4) Être à l’aise en terrain à chamois, notamment pour la descente en versant sud assez raide dans une courte section sous le col de la crête sous-sommitale du Petit Pinier (donc, de la crête, pour rejoindre les hauts du Vallon du Fond de la Cabane) et pour la montée vers le Col du Fond de la Cabane (éboulis pénibles).

Les infos essentielles

  • Carte IGN TOP25 3437ET (Orcières-Merlette – Sirac – Mourre Froid)
  • Altitude départ : Dormillouse (1700m)
  • Altitude maximale : Petit Pinier (3100m)
  • Dénivelé total cumulé : 1850m de dénivelé positif (au départ de Dormillouse) - En cas de départ du Pont des Oules, rajouter 270m de dénivelé positif.
  • Distance : calculée au curvimètre : environ 20,5km – distance GPX : 21km
  • Durée : 8h30 (sans pause : je m’hydrate et m’alimente en marchant). Compter éventuellement 1 heure de plus, voire davantage (selon les capacités physiques de chacun).
  • Matériel nécessaire : bâtons de marche, carte et compas, altimètre, vêtements couvrants de haute montagne, en cas d’accident : téléphone cellulaire (le réseau passe selon le positionnement sur les points hauts et parfaitement au sommet du Petit Pinier et du Tuba). En début de saison et en fonction des conditions : crampons-piolet à emporter obligatoirement. Éventuellement un casque (je n’en avais pas).
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Itinéraire

PRÉAMBULE :

En cette fin septembre 2017, logé durant quelques jours au superbe gîte de l’École à Dormillouse, le départ et retour de la randonnée ici décrite se fit par conséquent à partir de ce petit hameau.

Fait de maisons traditionnelles accrochées entre 1700m et 1800m à flanc sud de montagne, Dormillouse est le seul hameau habité à l’année du Parc national des Écrins et qui se rejoint par un sentier depuis le Pont des Oules, en bout de vallée de Freissinières. Son temple protestant datant de 1758 magnifiquement conservé, son four à pain, son ancienne petite école (à l’origine habitat religieux, transformée en école puis désormais en gîte d’étape), la maison du pasteur suisse Félix Neff, présent à Dormillouse vers 1826 (missionnaire protestant dans les Hautes-Alpes, notamment dans le Queyras, le Champsaur, la vallée de Freissinières), sont autant de témoignages de son histoire marquée par la présence des Vaudois – poursuivis et persécutés dès le Moyen-Âge par l’église romaine (excommuniés par le pape Lucius III en 1184), ce qui les poussera à se disperser dans le royaume de France principalement dans les hautes vallées reculées du Dauphiné et dans le Lubéron.

Se poser ne serait-ce que pour une nuit à Dormillouse où l’accueil est sympathique est propice à apaiser l’âme (comme à reposer les jambes) et laisse imaginer la rudesse et la simplicité de la vie ici des montagnards d’autrefois. Lieu idéal pour une étape.

L’ITINÉRAIRE :

DE DORMILLOUSE AU PONT DE FER :

De Dormillouse, prendre toute de suite en dessous du hameau le sentier en rive gauche du Torrent du Lait (marqué en pointillé sur la carte IGN), passer une passerelle sur le Torrent de Chichin puis traverser le Torrent du Lait. L’on atterrit à Pré Moulin (indiqué sur la carte IGN) à peu près au niveau d’une intersection. De là, prendre plein sud le sentier montant de gauche (un autre descend à gauche toute vers le Pont des Oules, tandis que celui de droite monte en direction du Col de Freissinières ou d’Orcières). Ce sentier sillonne agréablement dans l’immense et magnifique forêt de mélèzes (une féerie à l’automne).

En sortie de forêt (au point coté 2022 sur la carte IGN), le sentier aboutit à une intersection. Le sentier de droite va en direction du lac Palluel et du Grand Pinier (ou Pic Brun), le sentier de gauche poursuit sa trace en balcon, vers le lac Faravel : la direction à prendre.

Avant de parvenir à Peyrourasses (marqué sur la carte IGN), précisément en
dessous du point coté 2205 (marqué sur la carte IGN), au niveau d’un gros cairn en bord de sentier, quitter le sentier principal menant au Lac Faravel pour une sente plein sud à travers des pelouses en direction du Pont de Fer (fréquents troupeaux à l’estive).

Suivre cette sente (parfois draille) bien tracée dans l’alpage en direction de la Grande Cabane de Faravel, traverser le Torrent du Pont de Fer, puis, peu avant le point coté 2204 (marqué sur la carte IGN), dans un virage, bifurquer sur la droite (donc plein ouest) par une sente montante conduisant à la source de captage de la Grande Cabane de Faravel.

DE LA SOURCE CAPTÉE AU PETIT PINIER :

Ici débute la partie hors sentier de l’itinéraire :

De là, mettre le cap au sud-ouest, vers la crête herbo-rocheuse se découpant dans le ciel, par une vaste pelouse en pente parsemée de caillasse et se raidissant progressivement vers son sommet (assez physique sur la fin). Viser une sorte de col, entre les Têtes de Pommette et le point coté 2689 (tous deux marqués sur la carte IGN). Point coté 2689 où trône un cairn géant que l’on distingue depuis le bas de la pente.

Du cairn géant, la suite de l’itinéraire est évidente. Suivre tout simplement plein ouest la large crête herbo-pierreuse, laquelle s’oriente ensuite mollement sud-ouest une fois passé le point coté 2718 (marqué sur la carte IGN). Nota : en cas d’arrivée subite du mauvais temps ou du brouillard, juste après le point coté 2718, un col (léger affaissement de la crête qui remonte aussitôt) permet à main droite, donc plein nord, de s’échapper par une pente d’éboulis assez raide qui conduit directement au Lac Faravel.

Poursuivre au mieux dans la caillasse sur la crête, en suivant grosso modo le tracé bleu jusqu’à atteindre le point coté 3039 (tous deux marqués sur la carte IGN), sorte de dôme pierreux que l’on peut considérer comme l’antécime du Petit Pinier (deux cairns). Ce promontoire offre un visuel parfait sur l’arête sous-sommitale du Petit Pinier.

Descendre cette antécime en direction du point coté 3030 (marqué sur la carte IGN), en passant légèrement par la droite dans un entrelacs de rochers et de gradins faciles, de façon à contourner un obstacle rocheux sur l’arête (évident). Rapidement l’on retrouve la crête : plus exactement l’on se retrouve sur une sorte de col à égale distance entre les points cotés 3039 et 3030. C’est à cet endroit que l’on basculera en versant sud au retour d’ascension du Petit Pinier (pour rejoindre le Col du Fond de la Cabane).

Du col le Petit Pinier paraît presque inaccessible, voire un peu inquiétant dans son enchevêtrement de rochers de toutes tailles empilés et scellés entre eux par l’amalgame terre, possiblement parés à s’effondrer... (et vu la constante dégradation des conditions climatiques d’année en année, ceci n’est pas qu’une vue de l’esprit). Enfin, j’ai fait fi de tout cela, sans quoi je resterais continuellement à buller dans mon canapé...

Pour en revenir à la difficulté du Petit Pinier il n’en est rien, son ascension certes assez raide reste en effet facile, tout en appelant néanmoins à la prudence. Le jour de ma randonnée, le versant nord enneigé contrastait avec les versants sud et ouest totalement secs. En tout cas, la neige rendant l’ascension potentiellement dangereuse, c’est prudemment que je m’y suis lancé dedans, d’autant que la trace menant à son sommet était, sur le faîte de la crête, par endroits verglacée. Le froid m’ayant cueilli au sommet, je n’y suis guère resté que cinq petites minutes, d’autant qu’il me restait une bonne trotte pour boucler mon parcours.

Poursuivre sur l’arête et désescalader un léger ressaut rocheux (pas de II tout au plus, au point coté 3030 sur IGN). Un bout de corde (en section 8mm) emporté au fond du sac pourra rassurer ici une personne moins à l’aise. Poursuivre sur l’arête sommitale, contourner un gendarme par la droite (par la gauche à la descente). De là, quelques mètres d’ascension encore suffisent pour atteindre le sommet du Petit Pinier. Cairn. Belle ambiance.

La vue assez vaste s’étend au nord sur l’Entre Piniers (3044m), le Grand Pinier (3117m), à l’ouest sur la station d’Orcières-Merlette, la Grande Autane (2782m), la Petite Autane d’Orcières (2548m), au sud sur la toute proche Crête de Chabrières (2851m), le Tuba (3008m), les Lauzes Rousses (2915). Au sud lointain sur le Mourre Froid (2993m).

Descendre par l’itinéraire de montée, escalader le léger ressaut rocheux, et revenir au col, entre les points cotés 3030 et 3039. Évident.

DU COL SOUS-SOMMITAL DU PETIT PINIER AU COL DES TERRES BLANCHES :

Du col, choisir à l’estime le passage rocheux en versant sud le moins exposé, ce afin de prendre pied, moins d’une dizaine de mètres (approximativement entre 5 à 10m) plus bas, sur l’éboulis pentu. Il s’agit-là d’une courte section de petite désescalade dans des blocs et escaliers naturels plus ou moins raides et formés de rochers pourris : le pied précis et la prudence s’imposent par conséquent. Une fois sur l’éboulis, bien calé avec ses bâtons, le descendre à l’oblique sur une sorte de rampe pentue au départ et orientée à l’est, la « petite face rocheuse » émanant du point coté 3039 à main gauche, une petite barre rocheuse de faible déclivité à main droite. Passé ce début de descente périlleux, dévaler ensuite facilement en direction sud-ouest du Col du Fond de la Cabane en restant le plus haut possible dans l’éboulis.

Ne pas descendre trop bas dans le Vallon du Fond de la Cabane, de façon à avoir le moins possible à remonter ensuite vers le Col du Fond de la Cabane, la pente sous ce col étant un éboulis pénible (petite suée garantie). L’on prend pied sur le large Col du Fond de la Cabane d’où s’élève, au sud, une large crête caillouteuse en direction du Tuba que l’on atteint en quelques minutes (cairn).

L’ascension de cette crête, comme la crête intégrale jusqu’au Col des Terres Blanches, englobant le Tuba (3008m) et les Lauzes Rousses (2915m), est fort plaisante. Le panorama sur les alpages qui s’étendent au nord et au sud, de même que les sommets environnants, y est fort beau et la progression un jeu d’enfant. Évident. Il suffit de suivre la large crête pierreuse qui, du Tuba, descend progressivement en un très léger arc-de-cercle.

DU COL DES TERRES BLANCHES À DORMILLOUSE :

Là se termine la partie hors sentier de l’itinéraire.

Nota : en cas d’arrivée subite du mauvais temps ou du brouillard, échappatoire en versant sud du Col des Terres Blanches par le sentier bien tracé menant en 5km à la Cabane d’alpage de la Barre.

Le Col des Terres Blanches (2721m) porte bien son nom qui tient à une bulle de gypse formée à cet endroit. Curiosité géologique. Impossible de le manquer, la large crête descendant du Tuba et des Lauzes Rousses y menant "quasiment les yeux fermés". Là passe le sentier reliant Prapic à Dormillouse (marqué en pointillé rouge sur la carte IGN), régulièrement emprunté l’été par la grande randonnée. Prendre ce sentier en versant nord assez agréable et roulant en direction de Dormillouse.

Parvenu au niveau du Quartier d’Août (marqué sur la carte IGN), si l’on n’est pas attentif, la trace se perd quelque peu dans les pelouses formant un plateau traversé d’un torrent. Bien observer l’enfilade de cairns indiquant la direction, traverser ce torrent en le laissant à main gauche, de même qu’un mamelon terro-herbeux (point coté 2551 sur la carte IGN). Nota : si, par exemple, l’on s’égare (le mot est fort) dans ces pelouses et on longe le torrent en ayant, cette fois, le mamelon terro-herbeux 2551 à main droite, l’on tombe peu après sur une barre rocheuse infranchissable (la Barre Noire, marquée sur la carte IGN) où, d’ailleurs, trône un grand cairn en bordure de précipice. Ce grand cairn qui se voit de loin depuis le sentier peut induire en erreur quant à la direction à prendre...

Le sentier continue plein nord et traverse, en quelques lacets descendant, une section terro-rocheuse parcourue de ravines avant d’arriver aux Balmettes (marqué sur la carte IGN), cuvette de pierriers et de pelouses conduisant gentiment au joli petit Lac de Fangeas (1990m) : espérons que la sécheresse qui croit d’année en année n’en vienne hélas pas à bout... Du lac, poursuivre plein nord sur le sentier qui désormais serpente en forêt. Prendre à gauche à la première intersection (le sentier de droite descend direct au Pont des Oules et au parking). Rester sur ce sentier jusqu’à rejoindre la passerelle permettant d’accéder à Dormillouse.

. Randonnée réalisée le 22 septembre 2017

. Dernière modification : 26 août 2022 (Avertissements et Droits d'auteur)

Auteur :

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  • Salut Thierry. N’aurais point dans tes archives des photos du sentier des Balmettes entre le lac Fangeas et le col des Terres Blanches ?

    Le 25 août 2022 à 19h41
  • Bonjour hereme,
    Désolé, je n’ai pas de photos du sentier, notamment dans le secteur des Balmettes, entre le Lac Fangeas et le Col des Terres Blanches. Ceci-dit, le sentier intégral du lac au col est assez bien tracé (puisque emprunté chaque été par la grande randonnée) et cairné. Il suffit d’être attentif dans sa progression. Le sentier - dans le secteur des Balmettes - permet de passer une longue barre rocheuse en sillonnant dans une ligne de faiblesse terro-rocheuse moyennement raide et traverse quelques ravins.
    Cordialement,
    Thierry

    Le 26 août 2022 à 07h00
  • Rando faite le 8 août 2022 en sens inverse, je mets le commentaire pour signaler une petite variante un peu plus alpine :
    Du col du fond de la cabane descendre d’environ 50m pour ensuite effectuer une traversée à peu près à niveau ( pénible dans le terrain instable ) afin de contourner la base de l’arête SUD du petit Pinier, puis remonter juste derrière dans une sorte de combe pour récupérer ladite arête après sa partie très raide.
    Grimper assez facilement en suivant le fil ou légèrement en versant OUEST par moment.
    Le sommet se gagne par l’OUEST après un petit contournement délicat et exposé.

    Le 12 août 2023 à 13h57
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