Traversée du col de la Lavey (3309m), grand tour du vallon des Etages

Difficulté :
Difficile
Dénivelé :
2000m
Durée :
2 jours

Le vallon des Etages, vous n'y mettrez pas les pieds... Mais vous pourrez le contempler intégralement du sommet de cette grande boucle, une des plus belles qu'il soit possible de réaliser dans la vallée du Vénéon. Elle vous fera visiter tour à tour les vallons du haut-Vénéon, celui du Chardon et son glacier, et enfin celui de la Muande, après avoir franchi le col glaciaire de la Lavey et apprécié la couleur du lac des Rouies... – Auteur :

Accès

Le Bourg-d’Oisans - St-Christophe-en-Oisans - Les Étages, parking aménagé le long de la route. Départ également possible de la Bérarde ou de n’importe où sur la route qui y mène.

Précisions sur la difficulté

Il s’agit d’une randonnée longue (plus de 30km pour 2000m de dénivelé), qu’on souhaitera donc étaler sur deux jours, même si ce peut être envisagé en une très grosse journée pour les randonneurs endurants et entraînés. Les refuges (Carrelet ou Lavey) ne permettent pas vraiment de couper la rando en deux parties égales, il sera donc souhaitable de faire un bivouac (sous le glacier de l’Âne ou éventuellement vers le lac des Rouies).

La plus grosse difficulté technique se concentre sur la montée finale au col de la Lavey depuis le glacier de l’Ane, avec des pentes approchant 40° souvent en neige dure une bonne partie de l’été où les crampons sont souvent nécessaires, ainsi qu’un piolet fortement conseillé pour la sécurité. Le haut se termine par un raide couloir de roche terreuse bien croulante.

Toute la partie depuis le glacier du Chardon au lac des Rouies se déroule sur un terrain minéral ou l’exercice sera soit de repérer des sentes et des cairns, soit de progresser à vue en mettant en action son sens de l’itinéraire. L’exercice peut s’avérer très difficile en cas de mauvaise visibilité, notamment pour la descente sur le lac des Rouies.

L’allergie à la caillasse est à proscrire. L’itinéraire peut éventuellement s’envisager en début d’été lorsque des névés recouvrent la caillasse en bonne partie, ce qui peut selon les conditions soit compliquer soit faciliter la progression (notamment pour la descente). pour peu qu’on soit adéquatement équipé.

Les reliquats de glaciers traversés (Ane et Lavey) ne présentent maintenant plus de réels risques de crevasses.

Les infos essentielles

  • Altitude départ : 1600m (les Etages), point bas à 1440m (Chamforant).
  • Altitude sommet : 3309m.
  • Durée : 15h.
  • Carte : IGN TOP25 3336 ET - les Deux-Alpes.

Période

Praticable en conditions estivales. La présence de névés stabilisés au début de l’été n’est en général pas gênante pour peu qu’on soit bien équipé, et même parfois agréable pour s’affranchir des champs de caillasses. En général de mi-juin jusqu’aux premières neiges en altitude.

Attention au franchissement de certains torrents dans le vallon du Chardon qui peuvent être délicats en période de fonte.

Sensibilisation

Le milieu que vous traversez durant cette randonnée est fragile. Faites attention à la flore et ne dérangez pas la faune locale. Rapportez vos déchets et ramassez ceux que vous trouverez. Vous soutiendrez ainsi le mouvement KeepTheMountainsClean, une initiative Altituderando !

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Itinéraire

Ascension

Du parking de la Lavey, descendre pour franchir le pont sur le Vénéon et remonter le long sentier en faux-plat rive gauche en direction de la Bérarde. Alternativement, on pourra simplement suivre la route en rive droite vers la Bérarde, option peut-être plus rapide.

De la Bérarde, l’option la plus rapide pour se rendre dans le vallon du Chardon est de poursuivre sur le sentier rive gauche du Vénéon. Celui-ci s’élève progressivement en balcon jusqu’à dominer le plan du Carrelet pour ensuite progressivement rejoindre le fond du vallon du Chardon, rejoignant le torrent vers l’altitude 2080m au niveau d’une passerelle.

L’autre option, plus longue mais aussi plus variée, est de remonter le sentier rive droite en direction du refuge du Carrelet. Abordant le plan du Carrelet peu avant le refuge, ne pas manquer la passerelle permettant de franchir le Vénéon. On longe ensuite le plan du Carrelet par la droite pour trouver une autre passerelle permettant de franchir le Chardon. Montant dans les vernes pour rejoindre le sentier provenant du vallon de la Pilatte, on remonte ensuite le vallon du Chardon en rive droite pour rejoindre le fond du vallon et la passerelle sur le torrent.

A partir de là, plus de sentier, juste quelques traces et des cairns. On pourra poursuivre la remontée en fond de vallon soit en rive droite, soit en rive gauche, cette dernière option étant peut-être préférable pour s’éviter la traversée de quelques torrents pouvant être problématiques, notamment celui du Petit Chardon, ou celui du Chardon si on ne veut pas passer par-dessus la langue du glacier.

Après une visite optionnelle des éphémères curiosités de la langue du glacier, remonter à droite de celui-ci, s’aidant de quelques traces à la limite entre la caillasse du glacier et les pentes de la moraine. On aura auparavant repéré la raide rampe herbeuse permettant, au-dessus de la moraine, de poursuivre la montée en direction de la combe du glacier de l’Âne. Ne pas chercher à grimper prématurément sur la moraine, mais le faire uniquement à l’aplomb de la base de la rampe, vers 2500m, où on pourra trouver quelques cairns et sentes facilitant bien la chose.

Remonter la raide rampe herbeuse, qui se fait de plus en plus caillouteuse, en évitant de perdre la sente. Après la traversée de quelques pierriers et dalles, on finit par aborder les reliefs morainiques du glacier de l’Âne, où la sente se perd définitivement. Bien repérer le lieu pour faciliter un éventuel demi-tour.

La vue s’ouvre sur la combe du glacer de l’Âne, dominé par le col de la Lavey. La progression se fait maintenant à vue, au plus facile. Vers 2850m, on trouvera sur un replat de la moraine quelques petites terrasses de gravier idéales pour un éventuel bivouac confortable dans cet univers minéral.

Remonter au mieux en direction du col, en tirant parti des caillasses recouvrant parfois de la glace sous-jacente et des éventuels névés, mais en essayant, autant que possible, de rester éloigné des contreforts de la Pointe du vallon des Étages, et des éventuelles pierres qui pourraient en descendre.

Le final sous le col est particulièrement raide, approchant 40°. Des crampons sont souvent nécessaires en cas de neige dure ou gelée. En conditions sèches, on aura affaire à des pentes de caillasses terreuses croulantes et malcommodes. Enfin, on débouche brutalement sur le col, orné d’une longue congère neigeuse.

Malgré son altitude respectable, le col de la Lavey, très encaissé, n’offre guère de panorama. Il n’y a hélas pas de vrai sommet facilement accessible à proximité. Tout au plus pourra-t-on grimper un peu dans la raide caillasse malcommode du versant sud-ouest de la Pointe du vallon des Étages pour atteindre une proéminence d’un petit crêt rocheux d’où la vue s’ouvre vers le sud, permettant d’admirer le glacier des Rouies. Sinon, on descendra un peu sur le col du vallon des Étages, d’où le début de la crête rocheuse offre un panorama beaucoup plus dégagé vers l’ouest sur l’Olan et ses satellites, et surtout vers le nord une vue imprenable sur le vallon des Étages.

Descente

Descendre vers l’ouest les reliquats du glacier supérieur de la Lavey, visant un petit lac glaciaire. Crampons agréables si les pentes sont en glace. Juste avant le lac, on basculera au sud dans les grandes pentes de la combe descendant vers le lac des Rouies. Celles-ci alternent caillasses et zones de dalles parfois raides qu’on essaiera d’éviter au mieux. Cette navigation à vue peut s’avérer difficile en cas de mauvaise visibilité. On visera ainsi les berges du lac des Rouies, qu’on contournera par la droite.

Quitter les berges du lac vers l’ouest à travers la caillasse, en se guidant avec quelques cairns. Après avoir franchi les premiers dévers, obliquer vers le sud, visant une sente dans les pentes de plus en plus herbeuses. A ce point là, il est important d’avoir rattrapé le sentier bien marqué et balisé, seule option permettant de franchir les ressauts rocheux en aval du lac.

Le sentier descend vers le sud suivant une vague rampe herbeuse coupée de quelques couloirs faciles, puis repart vers l’ouest pour franchir une partie raide coupée de quelques dalles exposées équipées de câbles. Rejoignant des pentes herbeuses débonnaires, il descend ensuite en lacets vers un replat où se trouve une petite cabane de berger.

Gagnant le fond du vallon des Muandes, le sentier part ensuite dans un interminable faux-plat en rive droite en direction du plan de la Lavey, juste parfois interrompu par quelques petits détours par le haut, là où l’ancien sentier a été emporté par des ravines. Ce n’est qu’à l’approche du refuge de la Lavey qu’une passerelle ramènera en rive gauche pour pouvoir remonter au refuge.

Poursuivre le tranquille sentier en aval du refuge. Ne pas manquer un historique pont de pierre qu’il faudra franchir pour poursuivre la descente en rive droite vers Champhorent. Retrouvant la forêt, on reprend la descente vers les quelques bâtisses du hameau de la Raja, puis jusqu’à la bifurcation des sentiers, alors que le célèbre pont de pierre historique de Champhorent est en vue un peu plus bas.

Ne pas poursuivre la descente, mais partir à droite sur le très long sentier remontant progressivement vers les Étages en rive gauche du Vénéon. Globalement légèrement montant, il sera entrecoupé de plusieurs petites montées et descentes pouvant être un peu pénibles, notamment dans sa première moitié. On bouclera la boucle une fois arrivé aux Étages, où un pont permet de remonter vers le parking.

Variantes

Effectué sur plusieurs jours, plusieurs options permettent de rallonger le parcours en s’offrant la visite de quelques points d’intérêt supplémentaires.

Tout d’abord, on peut poursuivre la remontée du Vénéon en rive droite jusqu’au glacier de la Pilatte et son merveilleux cirque, via le refuge du Carrelet. Pour le retour, on prendra le sentier balcon en rive gauche, ramenant directement à celui remontant le vallon du Chardon en rive droite.

Si on passe la nuit au refuge de la Lavey, un aller-retour au lac des Bèches, ou bien le parcours du sentier balcon du lac des Fétoules sont dignes d’intérêt pour profiter au mieux des beautés du vallon de la Muande. Plus long, la sauvage montée vers le glacier des Sellettes sous l’imposant Olan est aussi digne d’intérêt.

La boucle peut se parcourir dans l’autre sens, éventuellement au départ de Champhorent. Il faudra tout de même faire attention à la descente versant est du col de la Lavey pouvant être très délicate en cas de mauvaises conditions, ainsi que, plus bas, la recherche d’itinéraire pas très évidente pour descendre sur le glacier du Chardon.

Détail de la sortie du 27 juillet 2023

Le col de la Lavey faisait rêver il y a bien longtemps, comme point culminant d’un grand trek glaciaire qui, en plus de parcourir ces merveilleux vallons des Écrins cernés de hautes crêtes aux neiges éternelles, nécessitait un parcours engagé sur toute une série de glaciers bien crevassés.

Seulement voilà, après plusieurs décennies subissant le réchauffement climatique, les glaciers ont reculé, les neiges éternelles sont devenues champs de caillasses, et les glaciers crevassés de part et d’autre du col de la Lavey ne sont maintenant plus que quelques reliquats de glace débonnaires ou recouverts de caillasses. D’un côté, le randonneur alpin pourra tirer parti de la "normalisation" d’itinéraires mythiques auparavant réservés aux alpinistes pour aller découvrir de ses propres yeux ces lieux mythiques même si, de l’autre côté, le décor traversé n’a plus grand chose à voir avec ces incroyables photos noir-et-blanc des lieux qui illustraient les anciens livres d’alpinisme.

Fin juillet, on dispose enfin d’une fenêtre d’une journée dans la région correspondant par chance avec un jour de "grand beau", pour une fois sans instabilité ni chaleur étouffante, l’occasion de concrétiser ce parcours découverte dans la profondeur des hauts-vallons des Écrins.

Une journée, c’est court pour un parcours d’une telle longueur, mais ça devrait le faire. Départ au petit matin, 6h30, c’est parti à pied le long de la route depuis les Étages, point de départ choisi coupant au mieux la partie "embêtante" de la boucle entre Champhorent et la Bérarde.

On remonte tranquillement le haut-Vénéon en rive droite alors que le soleil commence à éclairer les crêtes. L’inconvénient de faire le parcours en une journée, c’est que le parcours matinal ou tardif des fonds de vallée ne permet pas de les apprécier à la lumière du soleil. Mais en attendant, on marche efficacement dans la fraîcheur.

On traverse rapidement le plan du Carrelet, puis on s’engage dans le vallon du Chardon où enfin on commence à trouver le soleil. On quitte le sentier pour les champs de caillasses pour rejoindre le fond du vallon où se trouve le pied du glacier. En mutation permanente, on ne sais jamais quelles curiosités on pourra y trouver. Cette fois-ci, ce sera quelques ponts et un petit tunnel glaciaire qui ne demandera qu’à être traversé.

Bon, fini le tourisme, il faut penser à avancer... Le glacier du Chardon lui-même n’est qu’un immense champ de caillasses, inutile de s’y attarder. On rejoint le bord du glacier et on progresse le long de la moraine entre les blocs sur une caillasse maintenant pénible et instable, pour trouver le meilleur endroit où monter au-dessus de la moraine. On va un peu galérer pour remonter le dévers terreux croulant droit dans la pente, sans voir que juste un peu plus loin se trouvait une sente facilitant grandement la tâche. On le saura pour la prochaine fois...

La sente, on fera attention de ne plus la lâcher pour remonter la raide rampe herbeuse, qui fait bien chauffer les cuisses. Enfin, plus haut, les bosses morainiques de l’Âne se dévoilent, et derrière elles, entre névés et caillasses, ce qui reste du glacier de l’Âne montant vers le col de la Lavey... Une petite pause, on prend le temps de se retourner pour contempler "pour de vrai" tous les célèbres sommets des Écrins dont on a toujours entendu parler.

Le final semble bien raide, mais les crampons sont heureusement du voyage. On les chausse dès les premiers névés pour faciliter la montée. Finalement, la montée se passe bien sur une neige dure mais pas trop. La partie la plus délicate sera finalement le petit couloir de roche terreuse bien croulante pour finalement déboucher sur le col.

12h30, le col de la Lavey est atteint. La vue s’ouvre de l’autre côté sur le cirque des Muandes dominé par l’Olan, et plus à droite sur le vallon des Étages. Sur les rochers au dessus du col, deux bouquetins se promènent tranquillement. Mais que vont-ils faire à une telle altitude où il n’y a absolument rien à manger, alors que plus bas on trouve de l’herbe tellement plus accueillante ? Bon, on peu s’imaginer que ceux-ci, voyant ce bipède éreinté déambuler maladroitement sur les rochers, se posent une question similaire.

Malgré son altitude respectable, le col lui-même est assez encaissé, et n’offre guère de panorama sur les sommets lointains. On descendra donc un peu vers le col du vallon des Étages pour y trouver une petite crête rocheuse offrant plus de panorama. Et de là, la vue sur le vallon des Étages est vraiment spectaculaire. On y passera un bon moment à nommer les sommets visibles...

Rétrospectivement, le seul regret aura été de ne pas s’être donné la peine de faire l’ascension de ces quelques 80m de caillasses sous la Pointe du vallon des Étages pour atteindre le sommet d’une petite crête rocheuse. C’est vraiment de là qu’on aurait eu un panorama digne de ce nom, notamment vers le sud et les Rouies.

14h, la pause est finie, il est temps de poursuivre... Descente agréable de ces champs de névés recouvrant ce qui reste du glacier de la Lavey pour atteindre un joli petit lac glaciaire, puis il est temps de basculer dans ces infâmes champs de caillasses pour rejoindre le lac des Rouies, grosse tâche turquoise brillant plus bas. Un parcours tout en labyrinthe pour contourner les dalles rocheuses, bien plus long qu’il n’y paraît... Un mois plus tôt, des névés auraient bien facilité la tâche... Ce n’est que vers presque 16h qu’on trouvera enfin le temps de se prélasser quelques minutes sur les berges du lac. Le turquoise lagon contraste avec l’univers minéral, c’est difficile d’imaginer qu’il n’y a pas si longtemps, le glacier de la Lavey vêlait dans le lac.

On poursuit la descente... Fini la caillasse, on apprécie maintenant la verdure retrouvée, et surtout le sentier qu’il est essentiel de suivre pour descendre plus bas. On descend tranquillement... Les quelques dalles exposées, bien équipées, ne sont pas du tout un problème.

Voici la cabane de berger, puis le sentier plonge vers le fond de la vallée. Ici, la verdure règne en maître. Le vallon des Muandes se dévoile, et toute la longueur du parcours qui reste à faire. Heureusement, le sentier est tranquille, il n’y a qu’à se laisser marcher...

19h au refuge de la Lavey. alors que le fond du vallon plonge dans l’ombre. Pas trop le temps de s’attarder, il faut poursuivre, il reste encore pas mal de chemin dans le vallon avant d’attaquer la descente finale vers Chamforent. On retrouve la forêt, ambiance curieuse après avoir passé une journée sur les alpages et la caillasse.

20h30, le célèbre pont de Champhorent est visible en bas, alors que le soleil éclaire les derniers hauts sommets. On n’effectuera pas la classique abominable remontée de Champhorent, mais on n’est pas arrivé pour autant, car il reste presque 5km d’un long sentier en fond de vallée du Vénéon pour remonter vers les Étages. Un faux-plat hélas coupée de pas mal de petites montées et descentes, histoire de bien finir de vider ce qu’il reste d’énergie dans les jambes... On s’y colle, dans une humidité forestière un peu moite envahie de moustiques... La nuit tombe et, en bas, le Vénéon gronde, chargé de la blancheur des glaciers en train de disparaître en altitude... Fin de la balade vers 22h.

. Randonnée réalisée le 27 juillet 2023

. Dernière modification : 3 août 2023 (Avertissements et Droits d'auteur)

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Afficher les commentaires précédents (3).
  • Waouh !! Superbe parcours, et en plus à la journée ! Bravo !

    Le 3 août 2023 à 15h34
  • Et ben.......!!!! Quelle bambée ! De 6h du matin à 10h du soir, chapeau ! Pour bien connaitre ces coins (dans les parties basses bien sûr !), j’apprécie ce tour formidable à sa juste valeur.....
    Bravo à vous !

    Le 3 août 2023 à 19h30
  • Les topos de Pascal devraient être donnés en exemple pour tous les nouveaux contributeurs d’AR. Très très grande qualité, que ce soit dans le texte ou les images !

    Sinon, photo 20, il manque une lettre ou le torrent s’appelle vraiment "torrent du chrdon" ?

    Le 3 août 2023 à 21h27
  • Et je rajouterai un grand merci pour les photos, les 22 et 24 sont superbes, et la 59 est très émouvante pour qui ne montera jamais là-haut.
    Merci !

    Le 3 août 2023 à 21h52
  • La photo n°12 du topo de rab04 montre bien ce qu’il y a à descendre entre le col de la Lavey et le lac des Rouies.
    https://www.altituderando.com/spip.php?page=album-photo&id_rando=22838#&gid=1&pid=12

    Le 25 septembre 2023 à 22h39
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