Sortie du 1er août 2020 par ThF Le Grand Galibier (3228m), par Plan Lachat et le col de la Ponsonnière

« La montagne, comme paysage, ça ne me dérange pas trop… Mais s’obstiner à grimper sur des tas de cailloux, ça, ça me dépasse !… D’autant plus qu’il faut toujours finir par descendre. Alors à quoi ça sert, je vous le demande… » mais au plaisir… on aurait pu lui répondre. Capitaine Haddock (Tintin au Tibet)

Itinéraire, carte // Fiche topo

Topo de référence

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Conditions météo

Grand ciel bleu. Chaud.

Récit de la sortie

Et oui un tas de cailloux qui m’a fait réfléchir !

D’autant que le début s’est déroulé comme prévu, montée sans trop de difficulté...

Après les deux premiers pas « d’escalade » où il faut mettre les mains, j’ai rebroussé chemin !

Personne au sommet, personne derrière moi… si la montée ne posait pas de vraie difficulté, la descente risquait de me posait problème… donc j’ai décidé à contre cœur de faire demi-tour à quelques dizaines de mètres du sommet.

Je me suis retourné vers le point 3076 pour exposer les bâtons de JICE (il comprendra...)

. Randonnée réalisée le 1er août 2020

. Dernière modification : 1er août 2020 (Avertissements et Droits d'auteur)

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Auteur : ThF

Réagissez !

Yann

Dommage mais si on ne le sent pas. Ca m’est arrivé aussi plus d’une fois.
Ce qui est surpenant par contre c’est qu’il n’y avait personne. J’ai suivi le 05 et c’était la foule.
Le 8 août 2020 à 07h17
ThF

Bonsoir Yann
Dommage mais prudent, vous avez raison c’est mieux.
Dans le début de la partie qui m’a peu inspiré, une jeune femme descendait et me dit "vous aurez le sommet pour vous tout seul !" et derrière personne, et quand je suis descendu, il devrait être vers 14 h environ au plus tard, je n’ai rencontré personne. D’ailleurs, pourtant je suis souvent dans des endroits isolés perdus, j’ai eu une drôle d’impression en descendant de solitude sans bruit.
Par contre il est vrai que le matin il y avait beaucoup de randonneurs allant au Lac des Cerces et au col.
Le 8 août 2020 à 19h17
Valentin Ayela

En effet, quand on ne le sent pas, ça sert à rien d’insister.
J’ai réalisé son ascension il y a une dizaine de jour, et l’ascension finale m’a finalement paru plus impressionnante en grimpant qu’en descendant. Une fois au sommet, j’étais à la fois émerveillé par ce panorama d’exception et à la fois inquiet pour la redescente, mais en faisant très attention, ça passe plutôt tranquillement. Pourtant il fait partie de mes premières grosses randonnées.
C’est vraiment intéressant pour un sommet "randonnable" à une altitude aussi élevée !
Ascension réalisée depuis l’alpe du Lauzet, peu de monde jusqu’au col de la Ponsonnière, puis davantage fréquenté jusqu’au sommet. Nous étions une dizaine arrivé au sommet vers 14h
Le 8 septembre 2020 à 15h07