Vallon de Londonnière en boucle par la cabane de Londonnière

De Saint-Bonnet-en-Champsaur, prendre la direction de la Motte-en-Champsaur par la D 23, puis de Molines-en-Champsaur. Se garer dans le hameau, si possible, au départ de la route forestière du Roy ou au parking 500m avant l’entrée du hameau.

• L’ancien sentier du vallon de Londonnière est assez discret dans le versant de la Travaillère et presque inexistant dans l’ubac de Londonnière. Selon la saison avec une végétation exubérante ce versant est extrêmement paumatoire... À vos risques et périls !
• Cette escapade s’adresse à des explorateurs qui n’auront pas peur de se perdre. Suivre la trace demandera du flair et un sens de l’itinéraire à toute épreuve.

Emprunter la piste forestière du Roy afin de remonter le vallon de la Muande. Après plus d’un kilomètre, bifurquer à gauche sur le sentier menant à la cabane de Londonnière.

Rejoindre plus haut le sentier ronde que l’on suivra à droite. Déboucher peu après à la cabane de Londonnière.

À droite puis derrière de la cabane, retrouver un sentier qui file droit dans les bois, ce sera le sentier de retour. Pour l’accès à la Travaillère, il faut remonter dans les pentes herbeuses directement sur la gauche. On récupérera une sente discrète mais bien visible.

Celle-ci s’élève d’abord à l’aide de quelques lacets puis exécute une traversée ascendante, où l’on passera un vieux muret de pierres, jusqu’à un promontoire sur le Banc du Peyron et le Chaperon.

Le sentier continue de monter en lacets en forêt. Il en sort au départ de la traversée de la Baume de Londonnière. Il devient plus discret et longe sous une grande barre rocheuse.

Il poursuit dans le versant dit de la Travaillère dans un bois clairsemé, traverse plus loin plusieurs torrents dont celui de Londonnière.

Poursuivre sur les pelouses du Jas de la Travaillère avant de pénétrer dans l’Ubac de Londonnière.

En rentrant dans les bois, on pourrait croire que le sentier disparait momentanément dans des arcosses pour rejoindre un replat en face. Il n’en ai rien, c’est à cet endroit précis que le sentier amorce quelques lacets en descente avant de repartir en traversée.

Le sentier devient quasi inexistant. Suivre la trace de passage dans les hautes herbes et parmi les arbustes demande du flair et pas trop de précipitation lors de la traversée de ravins.

À la fin du franchissement d’un grand pierrier, la trace se poursuit tout droit. Ne pas tenter de descendre dans le pierrier !

On retrouve un sentier mieux marqué à la descente dans une forêt sombre. Après quelques larges lacets, franchir le torrent de Londonnière, regagner sa rive droite, puis rapidement la cabane de Londonnière.

Retour par l’itinéraire de montée ou par le sentier de ronde.