Sortie du 11 juillet 2023 par jump38 Cime de la Jasse (2478m) par les Lacs du Vénétier

Beau temps chaud. Température ressentie tempérée par un vent bien sensible.

Une fois n’est pas (ou plutôt, n’est plus) coutume, le réveil sonne à 4H30 ! La journée s’annonce très chaude (il fera 40°C en plaine en fin de journée !!!). Un peu de détours pour optimiser le covoiturage, et nous voilà au parking de départ à 6H30.

Il fait bon ! Presque frais ! On remonte d’un bon pas l’horrible piste en direction du Refuge d’Aiguebelle. La piste se dégrade vraiment au fil des ans : passages d’engins forestiers, passages de 4*4, ruissellement avec les forts orages. Nous montons à l’ombre, et nous monterons à à l’ombre jusqu’aux Lacs du Vénétier.

Le deuxième lac nous offre un vrai effet miroir avec un reflet presque plus beau que le réel. Nous ne l’avons jamais vu avec un tel reflet. Nous, on ne ’réfléchit’ pas trop pour reprendre notre ’route’.

Le soleil nous rattrape au pied de la raide montée amenant au Col de la Jasse, mais un vent de sud-ouest se fait sentir ; donc, globalement, nous n’avons pas chaud.

Et voilà le sommet ! Il est 9H30’ et nous sommes seuls au sommet ... ce qui est plus que rare à la Jasse ! La petite laine est même de rigueur car le vent reste soutenu.

Nous restons une heure sur ce sympathique sommet qu’on affectionne pour le parcours qui y conduit et pour le panorama offert (en plus, aux bonnes jumelles, on distingue notre maison depuis sa cime !). On comprend qu’il puisse, en toute saison, attirer la ’foule’.

Nous attaquons la descente ... et ne tardons pas à croiser notre fils qui est monté en ’mode trail’ comme il nous en avait prévenu.

Nous faisons un bon arrêt au bord du lac ... qui a fini de réfléchir ; le vent le ride un peu. Notre fils nous rejoint et fera le reste de la descente avec nous.

Entre le refuge et le parking nous croisons pas mal de randonneurs qui montent ; il ne faut vraiment pas qu’ils craignent la chaleur !

En ce qui nous concerne nous sommes à la voiture à 13H, bien contents de cette ’N’ plus unième Jasse (on ne les compte plus) ... en attendant la prochaine.

Jasse, jamais de toi on ne se lasse !