Sélection 10 - Beaux textes

La photo du jour est de Peyuko. Elle montre un hêtre fantastique par sa taille, et par son âge probable. Ce qui est remarquable aussi est le fait qu’au moins une branche basse touche le sol, ce qui démontre que cet arbre a été laissé pousser sans intervention. Cet arbre a forcément une signification forestière, ou paysanne, ou de limite de territoire, mais cette signification est peut-être bien oubliée maintenant.


Trois remarques préalables sur cette sélection :

  • L’organisation de la liste ci-dessous est faite suivant la date à laquelle la sortie a été effectuée : les textes les plus anciens sont en début, et les plus récents sont en fin de liste. Ceci permet d’avoir un point de repère pour s’y retrouver plus aisément.
  • Dans cet article n°10, la sélection a été menée essentiellement sur l’année 2015 (de façon non exhaustive). A cela s’ajoutent aussi quelques textes plus anciens, et d’autres plus récents de fin février et mars 2024.
  • Les mots qui sont placés « entre guillemets et en italique » sont ceux-là même des auteurs, et qui sont repris dans le texte d’introduction.

NB : les autres sélections peuvent se retrouver en allant :

  • sur la page d’accueil,
  • dans le menu principal « Rando »,
  • et dans le sous-menu « Sélection des beaux textes ».

Liste :


  • Habituellement, les balades en montagne se font en toute intimité, si ce n’est même en pleine solitude. Mais il existe toutefois des exceptions à cette « règle », exceptions qu’il ne faut pas négliger. Le récit enjoué présenté ci-dessous nous explique le fond de l’affaire.
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    Ged Aie - samedi 19 juillet 2014

  • Une poésie réussie, par un auteur rarement porté à ce style d’écriture : cela n’en est que plus remarquable !
    D’autant plus que les rimes sont bien présentes…
    Bravo.
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    Jicé - 24 mars 2015

  • Quelques phrases seulement.
    Quatre paragraphes.
    Une description toute imprégnée de poésie douce, et qui nous conduit aux portes de l’enchantement.
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    michel - 29 mars 2015

  • Par une analogie symphonique très réussie, nous voici emmenés au cœur de la montagne et au rythme de l’orchestre. Les mouvements musicaux se succèdent ; tout comme les étapes de la randonnée.
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    gegers - 21 juin 2015

  • Comme un tableau d’impressionniste, ce texte est rédigé avec des phrases courtes qui composent, par petites touches colorées et successives, l’ambiance de la sortie.
    Cette "peinture" est tenue en un seul bloc – encadrée, pourrait-on décrire – par une comptine enfantine ; comptine qu’un vent omniprésent ce jour-là fait remonter à la mémoire de l’auteur par le phénomène bien connu de la téléportation
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    patrick73 - 27 mai 2015

  • Voici un texte vraiment agréable, très frais, presque rieur, qui relate les démêlés du randonneur lorsque la météo du jour n’inspire que peu de confiance.
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    Antoine - 9 juin 2018

  • Ce texte bouleversant raconte la force d’une amitié, longue de trente-trois ans et qui, comme le jour, connait sa nuit…
    Parfois alors, une sortie en montagne sert d’exutoire à ce trop-plein de douleur.
    Et permet aussi de tenir la promesse « de décrocher un rayon de soleil ».
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    patrick73 - 19 janvier 2019

  • Ici tout est simple.
    Il n’y a qu’à lire.
    L’écriture parait tellement facile quand elle est composée comme cela…
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    CourtePatte - 8 octobre 2020

  • Si le texte en prose sait évoquer bien des sentiments, la forme poétique en strophes arrive – elle – à hisser la barre au niveau supérieur des ressentis.
    Avec une poésie de toute beauté, mais à la mélancolie lourde, ces lignes lancinantes ne peuvent qu’émouvoir le « fond de l’âme » à leur lecture.
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    gegers - 24 février 2024

  • Une description attachante des bords de la Loire aux premiers jours du printemps, avec ses eaux encore hautes et ses fleurs si nombreuses.
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    BA42 - 21 mars 2024

Les deux textes suivants forment vraiment un ensemble.
D’abord, ils sont liés par l’unité de temps : l’un du matin, l’autre de l’après-midi d’une même journée.
Ils sont également liés par une façon identique de porter l’attention avisée aux détails des lieux traversés.
Et puis surtout, ils ont en commun la fluidité de la narration, la restitution lumineuse des émotions – enchantées ou dépitées – qui font de ces paragraphes un parfait régal ; et qu’il est nécessaire de les savourer lentement, comme un vieil alcool que la main chauffe dans un verre à cognac.